« Désinformation et calomnie ,les fausses accusations contre Sa Majesté Mbang Hadji Wolli MAHAMAT démystifiées »

Récemment, des accusations graves de viol sur une mineure ont circulé sur les réseaux sociaux, visant Sa Majesté Mbang Hadji Wolli MAHAMAT, Vice-président du Sénat du Tchad et Sultan respecté. Toutefois, ces accusations se révèlent totalement sans fondement et ne reposent sur aucune preuve tangible. Aucune plainte officielle n’a été déposée et aucune enquête judiciaire n’a été ouverte pour confirmer ces allégations.

Ces rumeurs semblent être le fruit d’une campagne de désinformation menée par des individus motivés par des sentiments de jalousie et de haine à l’égard de Sa Majesté. Cette tentative de discréditer une personnalité influente du pays s’inscrit dans un contexte où certains cherchent à nuire à sa réputation et à déstabiliser sa position au sein des institutions nationales.

Face à ces attaques, Sa Majesté Mbang Hadji Wolli MAHAMAT a choisi de garder le silence, laissant la vérité et la justice répondre aux allégations malveillantes. Ce silence témoigne de sa volonté de ne pas alimenter la polémique, préférant concentrer ses efforts sur ses fonctions et ses responsabilités publiques.

Il est essentiel de rappeler que dans un État de droit, les accusations doivent être fondées sur des preuves vérifiables, et non sur des rumeurs non étayées. La responsabilité individuelle et le respect de la présomption d’innocence doivent primer pour éviter que des campagnes de désinformation ne ternissent la réputation d’un individu sans raison valable.

Évasion à la prison de Mongo : le Conseiller Politique du Guéra appelle au calme et à la vigilance

L’évasion spectaculaire survenue dans la nuit du 18 au 19 avril à la maison d’arrêt de Mongo continue de susciter de vives réactions. Le Conseiller Politique National (CPN) du département du Guéra, Abakar Tadjadine Goudra, a exprimé ce samedi sa profonde consternation face à cet incident qu’il qualifie de « regrettable ».

Dans un communiqué officiel rendu public à N’Djamena, le représentant politique a tenu à assurer son « soutien indéfectible » aux autorités administratives, judiciaires et sécuritaires mobilisées pour rétablir l’ordre et la sécurité dans la région.

« Face à cet acte regrettable, j’exprime ma solidarité totale avec les forces en place », a déclaré M. Goudra, tout en saluant les efforts déployés par les différents corps de sécurité pour reprendre le contrôle de la situation.

Par ailleurs, le Conseiller Politique National a adressé ses vœux de prompt rétablissement au Délégué Général du Gouvernement auprès de la province du Guéra, blessé lors de l’incident. Bien que les circonstances de la blessure n’aient pas été détaillées, cette mention souligne la gravité de l’événement.

Dans un appel solennel à la population, Abakar Tadjadine Goudra a invité les citoyens à faire preuve de calme et de vigilance, et surtout à collaborer étroitement avec les forces de défense et de sécurité pour contenir toute menace à l’ordre public. « La maîtrise rapide de la situation dépend de notre unité et de notre sens du devoir collectif », a-t-il martelé.

Les autorités locales n’ont, pour l’heure, pas communiqué sur le nombre exact de détenus évadés ni sur les mesures concrètes prises pour les retrouver. Une enquête a été ouverte et des patrouilles ont été renforcées dans la zone.

Abéché:Les lauréats de l’ENSA revendiquent leur intégration

Ce 19 avril 2025, les lauréats de l’École Normale Supérieure d’Abéché (ENSA) exigent leur intégration à la fonction publique.

Face au déficit d’enseignants qualifiés qui affecte le système éducatif tchadien, ils estiment que leur recrutement est essentiel pour améliorer les conditions d’apprentissage et alléger les classes surchargées. Ils ont interpellé le président de la République, Mahamat Idriss Déby Itno, ainsi que le ministre de la Fonction publique, pour examiner leur situation et agir rapidement.

Cette revendication souligne l’urgence de renforcer l’éducation au Tchad en valorisant les compétences des enseignants qualifiés.

Signé: SADAM MADIRI KAWADI

Tchad : remise officielle des diplômes aux lauréats tchadiens de l’IFTIC du Niger

Ce vendredi 18 avril 2025, une cérémonie solennelle de remise de diplômes s’est tenue dans la grande salle Mahamat Hisseine de l’ONAMA. L’événement a honoré les lauréats tchadiens de l’Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC) du Niger, issus des promotions 2015, 2016 et 2017.

La cérémonie a été présidée par le Ministre de la Communication et Porte-parole du Gouvernement, M. Gassim Chérif Mahamat, en présence de l’Ambassadeur du Niger au Tchad. Dans son allocution, le ministre a salué cet instant tant attendu et a exprimé sa gratitude au Président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, ainsi qu’au Premier ministre, Chef du gouvernement, Ambassadeur Allah Maye Halina, pour leur soutien constant et leur permission ayant facilité le rapatriement de ces diplômes longtemps restés en attente.

Revenant sur le rôle crucial du journalisme dans une société démocratique, le ministre a félicité chaleureusement les lauréats, tout en les exhortant à faire preuve de professionnalisme, de rigueur et d’éthique.

« Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons besoin d’une presse libre, professionnelle et éthique. Une presse capable de concilier l’impératif d’informer avec le respect de la dignité, de la personnalité et des valeurs sociales qui fondent nos us et coutumes », a-t-il déclaré.

L’événement s’est déroulé dans une ambiance empreinte de fierté, marquant un tournant pour ces jeunes professionnels appelés à jouer un rôle essentiel dans le paysage médiatique tchadien.

Par : Ndornan Eli & Mélom Djerassem Natacha

Politique : Sanoussi Attié Abdallah, le président qui avait vu venir la désillusion

Les contestations qui secouent la scène politique tchadienne depuis les élections du 29 décembre 2024 ne surprennent guère le Président de l’Alliance Nationale pour la Démocratie et le Changement (ANDC), Sanoussi Attié Abdallah. Bien avant la montée des tensions, il avait averti sur les risques de dérive autoritaire et de confiscation du pouvoir.

À l’époque, certains avaient jugé ses critiques excessives. Aujourd’hui, elles prennent des allures de prémonition. « Ce scrutin n’était qu’une façade démocratique. Tout était orchestré pour renforcer un pouvoir exclusif et éliminer toute voix discordante », affirmait-il dès janvier 2025, en dénonçant l’éviction de candidats élus et la marginalisation des partis d’opposition.

La récente décision du Parti des Démocrates pour le Renouveau (PDR) de claquer la porte de la coalition et de dénoncer l’accord avec la CEEAC vient conforter cette position. Ce parti, qui évoque un « hold-up électoral » et une gestion autoritaire, rejoint ainsi les inquiétudes soulevées depuis des mois par Sanoussi Attié Abdallah.

Lui, avait également dénoncé la circulaire n°03 du 27 mars 2025, perçue comme un outil de recentralisation des pouvoirs et un frein brutal à la décentralisation pourtant actée par référendum. Pour le leader de l’ANDC, il ne s’agit plus seulement d’une crise politique, mais d’un glissement dangereux vers un régime de type parti unique.

Sanoussi Attié Abdallah appelle désormais à une recomposition du paysage politique, fondée sur la vérité des urnes, la justice électorale et la restauration d’un dialogue sincère entre les forces vives de la Nation. « Ce n’est pas la démocratie qu’il faut enterrer, c’est le système qui la piétine », martèle-t-il.

Rumeurs d’enlèvements d’organes à N’Djamena : l’État met en garde contre la désinformation

Depuis plusieurs jours, une vague de rumeurs fait trembler les grandes villes du Tchad, notamment la capitale, N’Djamena. Des informations non vérifiées font état de prétendus enlèvements d’organes génitaux, semant la peur dans les rues et provoquant parfois des réactions violentes contre des citoyens accusés à tort.

Face à cette situation, le Gouvernement est monté au créneau. Dans un communiqué publié le 16 avril, le Ministre de la Communication, Gassim Cherif Mahamat, a dénoncé avec fermeté la propagation de ces fausses nouvelles. Il assure qu’aucun cas médicalement vérifié ne confirme les allégations d’enlèvement d’organes. « Les examens cliniques effectués sur les supposées victimes n’ont révélé aucune anomalie », affirme le texte.

Ce phénomène, amplifié par les réseaux sociaux et certains cercles obscurs, crée un climat de psychose généralisée. Le Gouvernement y voit une menace directe à l’ordre public et avertit que tout fauteur de trouble répondra de ses actes devant la justice.

Par ailleurs, les autorités appellent la population à garder son calme et à ne pas céder à la panique. « La sécurité des citoyens est une priorité », rappelle le Ministre, soulignant que les Forces de Défense et de Sécurité sont mobilisées pour prévenir toute forme de violence.

Dans un contexte marqué par la peur et les rumeurs, le Gouvernement veut couper court à l’escalade et rétablir la sérénité. Il en appelle à la responsabilité collective, à la vérification des informations, et à la vigilance contre les manipulations.

#N’DJAMENA : Les débrouillards du fleuve Chari, les ramasseurs de sable.

Au bord du fleuve Chari, des jeunes s’adonnent chaque jour à la collecte du sable. Appelés communément les « ramasseurs de sable », ces jeunes se débrouillent grâce à cette activité pour subvenir à leurs besoins quotidiens.

Certains plongent sous l’eau pour ramasser le sable et le ramènent au bord, pendant que d’autres remplissent les camions, appelés localement « picots », pour le vendre.

« Il vaut mieux faire ce travail que d’aller voler », confie l’un d’eux. Parmi eux, il y a également des pères de famille qui assurent la prise en charge de leurs proches grâce à cette activité.

En remplissant un camion, ils gagnent environ 1 000 FCFA. Le sable contenu dans un picot est ensuite revendu entre 13 000 et parfois jusqu’à 15 000 FCFA. Un travail dur mais digne, qui leur permet de vivre honnêtement.

Pr Avobsouma Djona réagit à la conversion en islam de Me Jean Bernard Padaré :

« Je ne comprends pas pourquoi vous passez tout votre temps à épiloguer sur la conversion de Me Padaré. Le Tchad est laïc et chacun peut aller s’en merder où il l’entend. C’est bien le droit de Me Padaré de chercher la voie de son salut. Je ne savais qu’il se savait perdu quand il était chrétien. J’espère que cette fois-ci, c’est le bon choix et qu’il ne pêchera plus contre le peuple tchadien, par exemple en lui volant ses voix.

Le problème du Tchad n’est pas religieux. Comptez le nombre de mosquées et d’églises et faites la comparaison avec la Chine par exemple par rapport au nombre des hôpitaux fonctionnels et établissements scolaires dont les murs ne s’écroulent pas sur nos enfants.

Comptez le nombre de pasteurs, diacres, prêtres, imams, marabouts et comparez avec celui de médecins, des professeurs, agronomes dans notre pays. S’il ne s’agissait que de la foi, notre pays ne serait pas le dernier du monde en tout. Réfléchissez. Où est la vérité lorsqu’on doit payer quelqu’un ou le corrompre pour l’amener à se convertir?

Le problème du Tchad est lié à la mal gouvernance. Fermez les yeux sur les vols, l’exclusion et venez soutenir qu’être musulman ou chrétien sauvera nos enfants de la faim ou des maladies. À ce que je sache, Kaka est un chef d’Etat et non un responsable religieux, fut-il musulman. Se laisser bénir par quelqu’un qui se cherche lui-même au plan de la foi ne vous interpelle-t-il pas ?

Moi, j’écoute et observe. Au jugement dernier, Dieu saura choisir les siens. Sur Terre, je me pose la question de ma présence parmi les humains. Je cherche à me rendre le plus utile possible aux miens. Je fais la politique afin qu’elle ne continue pas d’être prise en otage par des idiots, méchants et incapables. Bonne chance aux nouveaux appelés. »

Religion :Conversion à l’islam ,l’ORGEP félicite Bilal Bernard Padaré et lui propose de participer au Hadj 2025

Suite à la conversion à l’islam de Maître Jean-Bernard Padaré, président du Conseil Constitutionnel du Tchad, l’Organe de Régulation et de Gestion du Pèlerinage (ORGEP) a publié un communiqué saluant ce tournant spirituel majeur.

Désormais connu sous le nom de Bilal Bernard Padaré, le haut magistrat a été félicité par le président de l’ORGEP, Idriss Dokony Adicker, qui a exprimé son émotion et ses prières pour que cette nouvelle étape de vie soit guidée par la foi, la paix et la miséricorde divine.

En témoignage de fraternité, l’ORGEP a également annoncé sa disponibilité à l’accueillir comme invité spécial pour effectuer le pèlerinage à La Mecque (Hadj) en 2025, s’il manifeste ce désir.

Ce geste de l’ORGEP est perçu comme une marque d’ouverture et de soutien envers tous ceux qui choisissent de s’engager sur le chemin de la foi musulmane.

Tchad | M. Nousradine Abakar Kessou, artisan d’une dynamique de rigueur professionnelle à l’ONAPE, qui semble déranger les esprits malintentionnés.

Jeune, travailleur consciencieux, intègre et surtout issu de l’institution avant d’en prendre la tête, M. Nousradine Abakar Kessou incarne aujourd’hui un modèle de leadership responsable à la tête de l’Office National pour la Promotion de l’Emploi (ONAPE). Sa nomination en janvier 2024 a été saluée non seulement pour son mérite, mais aussi pour sa parfaite connaissance des rouages internes de l’institution, qu’il a servis loyalement pendant plusieurs années avant d’en être le premier responsable.

Calme, posé, droit dans ses actions et professionnel dans sa démarche, M. Kessou est l’un des rares jeunes cadres du pays à exercer ses fonctions avec une rigueur, une discipline et une abnégation remarquables. Depuis sa prise de fonction, il a engagé une série de réformes structurantes visant à redresser et dynamiser l’ONAPE. Parmi ses réalisations concrètes, on note le lancement de nouveaux programmes d’insertion socio-professionnelle des jeunes, la promotion de l’entrepreneuriat, et l’amélioration notable des services offerts aux demandeurs d’emploi.

Malheureusement, c’est justement cette dynamique de transformation et de rigueur professionnelle qui semble déranger certains esprits malintentionnés. Ces derniers, tapis dans l’ombre, distillent sur les réseaux sociaux des accusations graves, infondées et honteusement mensongères, dans le seul but de nuire à l’image d’un homme intègre et de saboter les efforts de redressement en cours au sein de l’ONAPE.

Ces attaques malveillantes, orchestrées visiblement dans un agenda personnel ou politique, ne reflètent en rien la réalité du travail accompli par M. Nousradine Abakar Kessou. Elles sont loin de la vérité et ne trompent personne, surtout pas ses collègues et collaborateurs directs, qui travaillent à ses côtés au quotidien.

À ce sujet, il est important de souligner que l’ensemble des cadres et agents de l’ONAPE, à travers toutes les directions et antennes régionales, condamnent avec la plus grande fermeté ces fausses accusations. Ils réaffirment unanimement leur soutien total et indéfectible à leur Directeur Général, dont le professionnalisme, la transparence et l’intégrité sont connus et reconnus de tous.

M. Nousradine Abakar Kessou n’a jamais cédé aux dérives, encore moins aux compromissions. Homme pacifique, profondément humain, mais ferme dans la gestion, il représente cette nouvelle génération de leaders qui aspirent à bâtir une administration plus juste, plus efficace, et résolument tournée vers le développement.

M. Nousradine Abakar Kessou, malgré ces manœuvres orchestrées contre lui, demeure plus que jamais, bien déterminé à poursuivre sa mission, afin d’offrir à la jeunesse notamment aux demandeurs d’emploi, les meilleures perspectives d’insertion socio-professionnelle. O.T