Récemment, des accusations graves de viol sur une mineure ont circulé sur les réseaux sociaux, visant Sa Majesté Mbang Hadji Wolli MAHAMAT, Vice-président du Sénat du Tchad et Sultan respecté. Toutefois, ces accusations se révèlent totalement sans fondement et ne reposent sur aucune preuve tangible. Aucune plainte officielle n’a été déposée et aucune enquête judiciaire n’a été ouverte pour confirmer ces allégations.
Ces rumeurs semblent être le fruit d’une campagne de désinformation menée par des individus motivés par des sentiments de jalousie et de haine à l’égard de Sa Majesté. Cette tentative de discréditer une personnalité influente du pays s’inscrit dans un contexte où certains cherchent à nuire à sa réputation et à déstabiliser sa position au sein des institutions nationales.
Face à ces attaques, Sa Majesté Mbang Hadji Wolli MAHAMAT a choisi de garder le silence, laissant la vérité et la justice répondre aux allégations malveillantes. Ce silence témoigne de sa volonté de ne pas alimenter la polémique, préférant concentrer ses efforts sur ses fonctions et ses responsabilités publiques.
Il est essentiel de rappeler que dans un État de droit, les accusations doivent être fondées sur des preuves vérifiables, et non sur des rumeurs non étayées. La responsabilité individuelle et le respect de la présomption d’innocence doivent primer pour éviter que des campagnes de désinformation ne ternissent la réputation d’un individu sans raison valable.