L’ONG nationale La Voix de la Femme a procédé, ce vendredi à Ndjari, au lancement officiel d’une opération de remise de kits et de manuels scolaires au profit des jeunes filles issues de familles vulnérables. Cette action s’inscrit dans le cadre de la campagne « Ma fille va à l’école », placée sous le haut patronage du Chef de l’État.

À travers cette initiative, l’organisation entend renforcer l’accès à l’éducation des filles et réduire les cas d’abandon scolaire, encore fréquents dans certains milieux défavorisés. Devant un parterre d’acteurs éducatifs et de partenaires, la coordinatrice Amina Tidjani Yaya a réitéré la détermination de l’ONG à œuvrer pour une égalité réelle des chances entre filles et garçons, rappelant que l’éducation des filles constitue un pilier essentiel du développement durable.

Le maire de la Commune du 7ᵉ arrondissement, Adam Djimi Hassan, participe depuis ce mardi 18 novembre 2025 au Salon International des Maires, qui se tient à Paris, au complexe Paris Expo Porte de Versailles, dans la capitale française.

Ce rendez-vous de haut niveau réunit une élite d’élus et de responsables municipaux venus des quatre coins du monde. Il offre une plateforme privilégiée d’échanges d’expériences, de partage de bonnes pratiques et de renforcement des partenariats entre les collectivités locales, dans une dynamique de coopération et de développement durable des villes.

Militant engagé et figure montante de l’Union des Démocrates pour le Développement et le Progrès (UDP), Sadam Madiri Kawadi, Secrétaire national adjoint à la communication du parti, fait face à de graves menaces de mort.

Implanté à l’Est du pays, il a contribué à renforcer l’influence de l’UDP dans le Grand Est en général et à Abéché en particulier, où il réside. Son travail de terrain et son dynamisme ont attiré des centaines, voire des milliers de jeunes sympathisants.

Très actif sur les réseaux sociaux, Sadam Madiri Kawadi s’est imposé comme une voix influente au sein de son parti. Cette visibilité, largement appréciée par sa base militante, semble toutefois avoir irrité certains cercles hostiles à son engagement. Il a reçu des menaces de mort provenant d’un numéro anonyme.

Ce type d’intimidation est fréquemment utilisé par les services de renseignements, qui cherchent à réduire au silence les voix jugées dérangeantes. Face à ces pressions, ses proches craignent désormais pour sa sécurité.

Cette situation n’est malheureusement pas isolée. De nombreux cadres de partis membres du GCAP, de Wakit Tama (section politique), ainsi que des voix dissidentes, religieux, journalistes et acteurs de la société civile font régulièrement l’objet d’intimidations similaires.

Après la visite de l’Ordre des architectes du Tchad, le Président du CESCE, Dr-Ing Ahmat Mbodou Mahamat, a reçu la Compagnie artistique Mantouti, menée par son président M. Saïd Mohamed Dongoss, venue lui remettre une attestation de reconnaissance.

À travers cette distinction, la troupe Mantouti a souhaité saluer l’engagement du Président du CESCE en faveur de la nation, particulièrement son rôle dans la promotion de la coexistence pacifique, du vivre-ensemble et de la lutte contre toutes formes de discrimination.

Touché par cette marque de considération, Dr-Ing Ahmat Mbodou Mahamat a exprimé sa gratitude et a rendu hommage aux actions citoyennes menées par la compagnie, dont les activités contribuent à renforcer la paix et la cohésion sociale au Tchad.

La rencontre s’est achevée par la remise officielle de l’attestation et de présents symboliques, illustrant l’appréciation de la compagnie artistique pour les efforts du Président du CESCE au service du pays.

Le Général Ahmat Soye incarne l’excellence militaire et le leadership sur le terrain. Il est reconnu pour sa rigueur et sa discipline, il applique le règlement militaire avec impartialité, imposant le respect à tous, subordonnés comme pairs. Toujours présent au sein de sa caserne, jamais absent, il veille personnellement au bon déroulement des opérations et au maintien de l’ordre et de la discipline. Apprécié par ses supérieurs pour son professionnalisme et sa compétence, le Général Soye demeure un pilier essentiel du commandement et un modèle pour les jeunes officiers de l’Armée tchadienne.

La province du Wadi-Fira a lancé, le 19 novembre à Biltine, son atelier de revue annuelle du Programme Annuel d’Investissement (PAI) 2025. La rencontre, appuyée par l’UNICEF, a réuni responsables administratifs, techniciens et partenaires impliqués dans le développement local. Les travaux ont été dirigés par le Délégué général du gouvernement auprès de la province, le Général Djimbaye Kamndoh.

L’objectif de cette revue est d’évaluer l’exécution des actions programmées au cours de l’année, d’identifier les progrès réalisés et les obstacles rencontrés, et d’ajuster les priorités pour 2025.
Dans son discours d’ouverture, le Général Kamndoh a souligné l’importance d’une gestion efficace des investissements publics, notamment dans les secteurs sociaux, et a salué la contribution technique et financière de l’UNICEF.

Les participants ont examiné plusieurs points clés : état des infrastructures sociales, performance des projets communautaires, besoins prioritaires pour l’année à venir, et pistes d’amélioration du suivi-évaluation des interventions.

À l’issue des échanges, des recommandations ont été formulées afin de renforcer la coordination et d’améliorer l’impact des investissements dans la province. Les travaux se poursuivront sur quatre jours.

UNICEF Tchad

La population meurtrie de notre province vous observe, et le spectacle que vous offrez frôle l’indécence. Ce qu’elle voit, c’est une farce politique, un théâtre minable où les acteurs confondent responsabilité publique et promenade folklorique. Depuis quelques jours, vous défilez dans nos départements comme des touristes perdus, avalant budgets et cérémonies inutiles, débitant des discours sans consistance et des promesses qui meurent avant même d’avoir franchi vos lèvres. Jusqu’à quand faudra-t-il endurer vos caprices, vos mesquineries et votre ignorance assumée ?
La Tandjilé accuse un retard accablant. Un retard honteux pour une province dont le sous-sol charrie du pétrole depuis presque dix ans. Où sont les routes dignes de ce nom ? Où sont les salles de classe pour nos enfants ? Où sont les infrastructures que vous brandissez en slogans mais n’accomplissez jamais ? Quel pacte obscur vous lie à la médiocrité pour condamner une génération entière à survivre plutôt qu’à vivre ? Le seul budget de vos tournées tapageuses aurait pu suffire à construire des dizaines de salles de classe. Mais vous préférez vous vautrer dans l’apparat, la mise en scène et le mensonge.
Hier encore, vous avez promis monts et merveilles : buttumage des rues, désenclavement, renaissance de la province… et aujourd’hui, assis bien au chaud dans vos fauteuils du Sénat et de l’Assemblée, aucun d’entre vous n’a eu l’audace, ou simplement l’honnêteté, de porter le moindre regard vers la Tandjilé. Est-ce cela, votre conception du développement ? Une parole donnée que vous usez comme un chiffon, avant de la jeter au caniveau ?
Vous vous comportez comme si vous étiez immortels. Comme si les comptes ne se réglaient jamais. La justice humaine vous fait peut-être rire, mais la justice divine ne vous oubliera pas. Chacun portera sa croix, et elle sera lourde, bien avant que vos yeux ne se ferment pour de bon. La Tandjilé ne restera pas votre terrain de jeu. Sa jeunesse, consciente et debout, ne vous laissera plus gouverner l’injustice en silence. Peu importe la longueur de la nuit : le jour finit toujours par surgir. Et lorsque les araignées s’unissent, elles peuvent ligoter un lion, même s’il se croit invincible.
Pendant que vous partagez vos soirées dans les auberges et hôtels, nous, citoyens de la Tandjilé — particulièrement de la Tandjilé Ouest — subissons une crise que vous feignez de ne pas voir. Les éléphants, pourtant éléments essentiels de notre écosystème, sont devenus une menace directe pour nos vies et notre survie. Les attaques se multiplient, fauchant des existences, ruinant nos cultures, brisant notre sécurité alimentaire.
Des familles pleurent leurs morts. Des champs entiers sont ravagés, alors qu’ils représentent la seule planche de salut de milliers de foyers. La combinaison de ces pertes agricoles et de conditions climatiques difficiles ouvre la porte à une famine qui pourrait décimer la province… pendant que vous débattez de vos privilèges.
La Tandjilé souffre. Vous, vous détournez le regard.
À bon entendeur, salut.
Kemtchang Kassouré Marcel

Chef d’état-major de la DGSAT-PSI, le Colonel Abdoulaye Issakha Diar est reconnu pour sa rigueur, sa clairvoyance et sa maîtrise des opérations spéciales. Officier aguerri, il allie expérience, sens tactique et esprit de discipline, guidant ses hommes avec un leadership exemplaire. Sous son impulsion, les unités spéciales poursuivent avec détermination la lutte contre les menaces terroristes et renforcent la posture de défense du pays.

Le Professeur Ringar, Président du Parti des Intellectuels et Socialistes Tchadiens pour l’Évolution (PISTE), a tenu à adresser un message fort ce 19 novembre 2025. Selon lui, la République doit primer sur toute considération politique. Il a également insisté sur la nécessité pour le gouvernement d’apporter un soutien tangible aux partis politiques, aux organisations de la société civile et aux médias.

Abordant la question du climat politique, le Professeur Ringar a évoqué le cas du Dr Succès Masra, en plaidant pour une amnistie et en demandant que les leaders de l’opposition puissent lui rendre visite. Pour lui, ces mesures sont indispensables afin de garantir la stabilité et la responsabilité républicaine dans le pays.

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‎Ce mercredi 19 novembre 2027, le ministère de la Santé publique, en partenariat avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a lancé à l’Office National des Médias Audiovisuels (ONAMA) la Semaine mondiale du bon usage des antibiotiques, placée cette année sous le thème : « Agissons maintenant : protégeons notre présent, sécurisons notre avenir ».
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‎Prenant la parole, le représentant de l’OMS, Dr John EYONG EFOBI, a rappelé que la résistance aux antimicrobiens demeure une menace majeure : elle provoque près de 700 000 décès chaque année dans le monde et pourrait en causer jusqu’à 10 millions si rien n’est fait. Il a également alerté sur la situation au Tchad, où l’automédication, la vente illicite de médicaments, le non-respect des prescriptions et l’usage massif d’antibiotiques dans l’élevage contribuent à aggraver le problème.
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‎Le Secrétaire général du ministère de la Santé publique, DABSOU GUIDAOUSSOU, a, pour sa part, mis en avant les efforts entrepris depuis 2017 : création du Comité national multisectoriel RAM, élaboration du plan stratégique national et intégration du pays aux réseaux internationaux de surveillance. « Nous avons la responsabilité de protéger la population et les générations futures. Agir maintenant est une nécessité », a-t-il affirmé.
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‎Tout au long de cette semaine, des activités variées seront organisées : campagnes de sensibilisation, émissions éducatives, actions d’information à l’endroit des éleveurs et des bouchers, ainsi que des initiatives pour prévenir l’usage inapproprié des antimicrobiens, renforcer le contrôle des contaminations et améliorer la gestion des déchets.
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‎L’objectif central reste clair : promouvoir un usage responsable des antibiotiques afin de préserver leur efficacité pour les générations actuelles et futures.
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