Alors que les relations entre les grandes puissances et le continent africain suscitent de nombreux débats, les attitudes des dirigeants comme Vladimir Poutine et Donald Trump continuent d’alimenter les discussions.
Le président russe, Vladimir Poutine, est perçu par de nombreux observateurs africains comme un chef d’État qui accorde une considération particulière à l’Afrique. Son discours à l’égard des pays africains est souvent empreint de respect, de coopération équitable et d’un appel à l’émancipation vis-à-vis des influences néocoloniales. Lors des différents sommets Russie-Afrique, M. Poutine a réaffirmé son engagement pour un partenariat basé sur la souveraineté et le développement mutuel. Certains soulignent également son attachement à des valeurs spirituelles, invoquant une posture guidée par une certaine foi.
En revanche, le président américain Donald Trump a été au cœur de vives polémiques concernant ses propos sur le continent. Ses déclarations qualifiant certains pays africains de « pays de merde » avaient suscité une vague d’indignation à travers le monde. Pour beaucoup, ces propos traduisent un manque de respect flagrant envers les peuples africains et ont renforcé une image de mépris et de racisme attribuée à l’ex-président américain.
Ces deux figures emblématiques illustrent ainsi deux approches diamétralement opposées dans leurs relations avec l’Afrique : d’un côté, une volonté affichée de partenariat équitable ; de l’autre, une série de propos perçus comme condescendants et discriminatoires.




