Suite au dépôt d’une plainte par une organisation soudanaise devant la Cour pénale internationale (CPI) visant les autorités tchadiennes, Wakit Tama, section politique, a exprimé sa satisfaction.
Le coordonnateur de la section a évoqué des preuves « «claires et documentaires» d’un soutien au massacre toujours en cours au Soudan. Il appelle la CPI à agir avec « ««fermeté et courage», sans céder aux pressions politiques.
Pour Wakit Tama, cette action judiciaire marque le début d’un ««long calvaire pour un régime dynastique et illégitime», responsable, selon eux, de graves violations des droits humains.
L’organisation rappelle ses démarches précédentes et annonce de nouvelles actions en cours, qui devraient «« «porter leurs fruits».
Elle espère que justice sera rendue aux victimes du 20 octobre, à Yaya Dillo, ainsi qu’à tous les Tchadiens victimes de répression ou détenus injustement dans les geôles de l’ANSE, affirmant que « ««l’impunité ne durera pas ».




