mercredi, décembre 17, 2025
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Afrique: la pauvreté n’est pas un obstacle (Bill Gates)

D’ »excellents » soins de santé de base permettant de s’attaquer aux maladies les plus meurtrières en Afrique: le but est réaliste sur le continent malgré la pauvreté de certains pays, a plaidé dimanche le multimilliardaire et philanthrope Bill Gates.

« En consacrant des sommes modestes à des problématiques prioritaires, on peut engranger des résultats phénoménaux », a soutenu M. Gates dans un entretien avec l’AFP, évoquant l’accès à certains vaccins, antibiotiques ou à des infrastructures de base.

« Il n’y a pas besoin d’être un pays à revenus moyens pour avoir un excellent système de soins de santé primaires », a-t-il ajouté.

Gates, dont la fondation a consacré 15 milliards de dollars à l’Afrique depuis 2000, était présent à Addis Abeba pour un sommet de l’Union africaine. Il a participé au lancement samedi d’une initiative en vue d’augmenter les investissements, principalement de la part des gouvernements, dans le secteur des soins de santé.

A l’origine de cette initiative, le président rwandais Paul Kagame a appelé les pays africains à consacrer au moins 15% de leur budget aux soins de santé, un objectif qu’ils s’étaient fixé au tournant du millénaire. Car si les investissements ont augmenté depuis, les pays africains ont consacré environ 7,5% de leur budget à cette question en 2016.

Soulignant que les efforts réalisés ces 20 dernières années pour améliorer les soins de santé en Afrique ont notamment permis de réduire la mortalité chez les enfants de moins de cinq ans et de prolonger de dix ans l’espérance de vie, le co-fondateur de Microsoft a regretté que « certains chiffres restent troublants ».

Selon l’UA, plus de la moitié des Africains n’ont pas accès à des services de santé « essentiels », 70% des personnes atteintes du sida à travers le monde vivent en Afrique et des maladies infectieuses qui ont diminué ailleurs dans le monde « restent parmi les principales causes de mortalité ».

« Quand on regarde les maladies qui tuent le plus d’enfants, comme la diarrhée, la pneumonie, la malaria, il existe des solutions bon marché », souligne M. Gates. Et de prendre l’exemple des pays plus riches où « les 10 premiers pour cents des sommes dépensées (…) permettent d’engranger 90% des résultats ».

Il a également estimé que l’Afrique a désormais ses propres exemples à suivre, évoquant notamment le cas du Rwanda, qui a introduit une couverture santé universelle: un exemple selon lui « fantastique, même si c’est un pays pauvre ».

AFP

SANTE : Le ministère de la santé suit son plan de développement sanitaire (PDS) dans le Mandoul

Le ministre de la santé publique Aziz Mahamat Saleh et sa suite ont séjourné la semaine dernière à Sarh et Koumra, objectif suivre les activités sanitaires pour améliorer la gouvernance et la recevabilité dans le secteur de la santé desdites provinces.

Cette une mission conjointe du ministère de la santé et ses partenaires techniques et financiers s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre et du suivi du plan de développement sanitaire (PDS). Elle permettra de propulser les activités du plan national de développement sanitaire et les plans régionaux de développement sanitaires.

Le ministre et sa suite ont profité de leur séjour pour visiter le centre hospitalier baptiste de Koumra et le centre de santé de kemkada localité située à 15 km à la sortie nord est de Koumra. Une descente qui a permis au ministre et son staff de constater de visu les conditions de travail du personnel de santé de ces établissements de formation sanitaire.

Le centre hospitalier baptiste Seymour de Koumra faut-il le rappeler est une structure confessionnelle créée dans les années 1957 par docteur David Seymour de nationalité américaine. Aujourd’hui cette formation sanitaire est une référence pour sa qualité de prestations en soi dans plusieurs domaines telles que la clinique ophtalmique, la chirurgie, l’odontologie et autres. Mais le retrait des missionnaires américains, cet hôpital éprouve aujourd’hui des difficultés pour s’épanouissement.

Après la visite de ces deux structures sanitaires le ministre a dirigé une réunion de restitution du rapport de la mission conjointe du ministère et de  ses partenaires effectuée en octobre dernier dans la province du Mandoul.

 

SOCIETE CIVILE : La CASAC condamne les incursions des rebelles dans la partie Nord-Est du Tchad

La Coalition des Associations de la Société Civile pour l’Action Citoyenne (CASAC), dénonce dans un communiqué de presse daté du 8 février 2019, les incursions terroristes menées par les mercenaires extrémistes à la solde du terrorisme international. « Il va sans dire, que cette agression terroriste honteuse vient, une fois de plus, confirmée nos soupçons sur la connexion directe entre les mercenaires Tchadiens présents en Libye et le terrorisme international », indique le document.

Le document de poursuivre que les Tchadiens dans leur écrasante majorité aspirent à la paix et qu’aucune transposition des déchirements meurtriers de la Libye ne sera acceptée. La coalition salue et encourage la réaction prompte et efficace de l’armée nationale tchadienne et apporte son soutien indéfectible aux forces de défense et de sécurité, engagées régulièrement dans la préservation de la paix dans notre cher et beau pays le Tchad. « Nul n’a le droit de déstabiliser le Tchad et quiconque s’aventurera dans ce sens, nous trouvera dressé, tel un mur, pour protéger la paix et la stabilité dans notre pays », ajoute-il.

Selon les propres termes du document, ces criminels terroristes ambitionnent l’installation de la criminalité, du terrorisme, du désordre et de la déstabilisation dans notre pays avant de souligner que les Tchadiens ont connu les affres de la guerre, et à ce titre, aucune manœuvre terroriste et guerrière ne passera. « Le sang des Tchadiens est sacré et nous n’accepterons jamais sans réagir, contre celui qui le versera », martèle-t-il.

La CASAC demande à l’opinion internationale et à la justice internationale d’aider le Tchad à appréhender les coupables de cette agression terroriste menée contre les Tchadiens. Il serait ingrat si la communauté internationale ne condamne pas avec fermeté ces attaques terroristes, ajoute le communiqué.

La CASAC, soutient par la même occasion la coopération Tchado-Française en matière de défense. Par ailleurs, elle rappelle à l’opinion tant nationale qu’internationale, que les djihadistes et autres narcotrafiquants se trouvant dans les pays voisins sont en intelligence avérée avec le terrorisme international, et à ce titre, nous demandons à tous les Tchadiens d’être vigilant pour ne pas tomber dans leurs pièges. La CASAC  de dire encore qu’elle continuera toujours par défendre la paix et la stabilité dans notre chère nation. Que les ennemis de notre pays sachent et apprennent une fois pour toutes, les patriotes Tchadiens demeurent à l’avant garde, et qu’aucune chausse trappe, aucune manœuvre dilatoire ne passera.

Notre pays a besoin de stabilité pour poursuivre son développement, alors, il devenait conséquemment impératif pour nous, de prendre nos responsabilités respectives en mettant les intérêts suprêmes de la nation au dessus de nos intérêts personnels, renchérit-il.

Pour finir, la CASAC se dit prête à soutenir indéfectiblement toutes les actions méritoires posées par le Président Idriss Deby Itno, et s’opposera comme un seul homme à tous les ennemis de la Nation.

Le document porte la signature de Mahamoud Ali Seid, président de

ladite coalition.

 

INTERNATIONAL: « Vent d’espoir » en Afrique, avec des élections et des accords de paix, dit le secrétaire général de l’ONU

Une série d’élections pacifiques et de trêves font souffler un « vent d’espoir » en Afrique, a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres samedi à Addis-Abeba, à la veille d’un sommet de l’Union africaine dans la capitale éthiopienne.

« C’est un moment où un vent d’espoir souffle à travers l’Afrique. Nous avons vu une réconciliation entre l’Éthiopie et l’Érythrée, nous avons vu des accords de paix (…) au Soudan du Sud et en République centrafricaine », a relevé M. Guterres.

« Nous travaillons ensemble pour voir si nous pouvons aller dans la même direction en Libye », a-t-il ajouté. I Il y a eu « des élections à Madagascar, en RDC et au Mali dont on disait qu’elles allaient conduire à une tragédie et à des violences et qui, finalement, se sont déroulées dans un contexte pacifique », a-t-il souligné.

Guterres a fait ces déclarations à la veille de la 32e session ordinaire de l’assemblée des chefs d’État et de gouvernement des 55 pays membres de l’Union africaine (UA), dimanche et lundi à Addis-Abeba.

L’Éthiopie et l’Érythrée ont mis fin l’année dernière à vingt ans de guerre froide tandis que le Soudan du Sud tente de faire entrer en vigueur le dernier d’une longue série d’accords de paix pour mettre fin au conflit meurtrier qui le déchire depuis cinq ans. Un accord de paix a été signé cette semaine entre le pouvoir centrafricain et les groupes armés qui occupent 80% du territoire de la Centrafrique, suscitant l’espoir de voir s’achever une crise qui, depuis 2012, a fait des milliers de morts et plus d’un million de déplacés.

« Tout cela a été réalisé grâce aux efforts conjoints des Nations unies et de l’UA (…) pour s’assurer que les armes se tairont à partir de 2020 sur le continent africain », a ajouté M. Guterres.

« Je pense que l’Afrique est devenue un exemple (montrant) qu’il est possible de résoudre les conflits et de prévenir les conflits, et j’espère que ce vent d’espoir pourra être étendu à d’autres parties du monde », a encore déclaré le secrétaire général de l’ONU.

 Belga

 

 

Tchad: reddition de plusieurs dizaines de rebelles UFR

Au Tchad, c’est une information RFI, le chef de la colonne de l’Union des forces de la résistance (UFR) qui indiquait vouloir marcher sur la capitale Ndjamena s’est rendu, vendredi 8 février, aux militaires tchadiens. Selon nos informations, le lieutenant Ousman Teguen et plusieurs dizaines de ses éléments ont été conduits, sous escorte, à Moussoro, au nord-est de Ndjamena. C’est la deuxième fois, depuis le début de la semaine, que des éléments rebelles se rendent, suite aux frappes françaises. L’un des porte-paroles de l’UFR affirme que ces combattants étaient retranchés dans une grotte et empêchés de sortir par l’aviation française, ce qui aurait permis leur capture par l’armée tchadienne. A Paris, l’état-major démentait toutefois, vendredi, toute nouvelle intervention française dans le secteur. De son côté, l’état-major tchadien affirme que plus de 250 combattants auraient été capturés.

Rfi

« Je rends le tabouret pour aller chercher le fauteuil, c’est plus confortable »

Guillaume Soro rend le tabouret pour aller chercher le fauteuil. C’est ce qu’il a confié à sa chaîne privée, dans une brève interview, ce samedi 9 février 2019.

N’arrive à l’homme que ce qui lui arrive. On y va !. En toute circonstance, je garde ma sérénité. Dieu sait ce qui est bon pour moi. Depuis deux ans, depuis mai 2017, je me suis préparé à cette éventualité. Je suis soulagé parce que vous ne pouvez pas imaginer le poids du fardeau que je ressentais sur mes épaules.

« Je rends le tabouret pour aller chercher le fauteuil, c’est plus confortable »

Je suis un indépendant. Je ne dirai pas que je suis un insoumis, mais je suis indépendant fondamentalement. Je n’aurai plus à être astreint au devoir de réserve.

Côte d’Ivoire : Guillaume Soro démissionne de la présidence de l’Assemblée nationale

Je démissionne maintenant parce que le Président Ouattara l’a voulu avec insistance. Je ne veux pas, voyez-vous, amener la Côte d’Ivoire dans une situation de crise. C’est pourquoi j’ai décidé de ne pas aller à la radicalisation, comme me l’ont conseillé beaucoup de gens. Je veux éviter cela.

Retranscrit par Roxane 

 

Décret : Nominations au Ministère de l’Administration du Territoire, de la Sécurité Publique et de la Gouvernance Locale

Au terme du décret N°195, les fonctionnaires dont les noms suivent sont nommés aux postes de responsabilité ci-après au Ministère de l’Administration du Territoire, de la Sécurité Publique et de la Gouvernance Locale :

Direction générale du ministère
Directeur Général : Mahamat Mbodou Abdoulaye en remplacement de Madame Gassimta Ne-Lalfalbo

Directeur général Adjoint : Valentin Moïssingar en remplacement de Bakhit Youssouf

Direction de l’Intérieur

Directeur : Hissein Hamit Loni en remplacement de Tilwa Ousman AmineDirecteur général Adjoint : Abangua Brahim Barka en remplacement de Djalal Adam Mahamat

Direction des Affaires Politiques et de l’Etat Civil

Directeur Maïnadjo Babaro Maintenu

Directeur Adjoint : Ngartoloum Mbibyang en remplacement de Payang Reoumian

Direction des Etudes et de la Législation

Directrice : Madame Aché Haroun Saleh poste vacant

Directeur Adjoint : Natoiallah Mbaitodjim en remplacement de Madame Aché Haroun Saleh

Direction de la Protection Civile

Directrice : Madame Théssé Mbia Mabillo poste vacant

Directeur Adjoint : Hassan Abdoulaye en remplacement de Madame Théssé Mbia Mabillo

Direction de la Tutelle des Collectivités Autonomes

Directeur : Ougoulné Yakhou Jérémie en remplacement de Madame Mangué Ruth

Directeur Adjoint : Djibrine Abakar Hassan en remplacement Baning Danassou

Direction Générale de la Gouvernance Locale

Directeur : Kadadi Doudi maintenu

Directeur Adjoint : Abakar Moussa Noukou maintenu

Direction de la Formation et de la Communication

Directeur : Mahamat  Kaya Ali maintenu

Directrice Adjointe : Madame Djamra Betolngar poste vacant

Direction de la Coopération Décentraliser

Directeur : Salou Bakari maintenu

Directrice Adjointe : Madame Haoua Hassan Adbelkerim en remplacement de Madame Grace Mboro Madjiro

Direction d’Appui aux Initiatives Locale

Directeur : Mahamat Habib Moustapha poste vacant

Directrice Adjointe : Madame Khadidja Adjita maintenu

Direction de l’Economie et des Finances Locales

Directeur : Ramadan Djarsia en remplacement de Mahamat Alhadi

Directrice Adjointe : Madame Grace Mboro Madjiro en remplacement de Djibrine Abakar

Direction des Ressources Humaines, des Matériels et de la Logistiques

Directeur : Mahamat Seïd Ali nouveau poste

Directeur Général : Adjoint Ndondigui Alain nouveau poste

 Direction des Matériels et de la Logistique   

Directrice : Madame Amouna Ali Sougui nouveau poste

Directeur Adjoint : Ramadan Abdelkerim Mahamat nouveau poste

Direction des Ressources Humaines et de la Formation

Directeur : Djouma Hissein Barka en remplacement de Ndodogui Alain

Directeur Adjoint : Dila Hubert poste vacant

Direction des Archives et de la Documentation

Directeur : Wangkreo Tatouin poste vacant

Directeur Adjoint : Hassan Assiring Ogui en remplacement de Wangkreo Tatouin

Article 2 : Le Ministère de l’Administration du Territoire, de la Sécurité Publique et de la Gouvernance Locale et le ministre des finances et du budget sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’application du présent décret qui prend effet pour compter de la date de signature sera enregistré et publié au journal officiel de la République.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le ministre des finances et du budget est chargé de l’application du présent décret qui abroge toutes dispositions antérieures contraires, et prend effet à compter de sa signature.

 

Côte d’Ivoire : Guillaume Soro démissionne de la présidence de l’Assemblée nationale

La décision était attendue. Guillaume Soro a rendu sa démission le vendredi 8 février de son poste à la tête de l’Assemblée nationale ivoirienne, à l’issue d’une brève session extraordinaire qu’il avait convoquée. La fin d’un suspense qui a tenu en haleine de nombreux Ivoiriens.

« À cet instant précis, je rends ma démission du poste de président de l’Assemblée nationale », a déclaré le 8 février Guillaume Soro, du haut de la tribune de l’Assemblée nationale, d’un ton grave et solennel. Dans un discours bref, il est revenu sur les circonstances de cette démission qui était attendue depuis quelques jours, suite à son refus d’adhérer au Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP du président Alassane Ouattara).

Jeune Afrique

FRANCE-TCHAD : Les leçons d’une frappe aérienne contre les rebelles tchadiens

Qualifiée de mascarade par les uns (l’opposition) et une bonne affaire par les autres (le pouvoir en place), l’intervention des chasseurs-bombardiers « Mirages 2000 » français contre les rebelles de l’Union des forces de la résistance (Ufr), le dimanche 3 et mercredi 6 est tout à fait rassurant.

Pour ce dernier, cette rébellion est une suite logique du terrorisme et du mercenariat. Lors du conseil des ministres du jeudi 7 février, le Président de la République, Idriss Déby Itno en a profité pour remercier la France d’avoir mater ces rebelles-terroristes.

Pourtant, cette frappe de la France est une équation complexe d’autant plus que le régime actuel et ceux précédent ont empreinté le même chemin aboutissant au pouvoir.

«Tout tchadien qui n’est pas d’accord avec le MPS est terroriste… Et nous on a peur à l’intérieur parce que, nous autres partis politiques, il suffit qu’on bouge un peu et ils vont nous traiter de terroristes », s’est inquiéter Saleh Kebzabo, le Président de l’UNDR.

Le syndrome français                                                                  

Tout d’abord, le bombardement en février 2018 sur les rebelles, toujours tchadiens dans la capitale N’Djamena au temps de Nicolas Sarkozy et aujourd’hui sous l’ère d’Emmanuel Macron défendant ainsi le même régime.

Le message est clair : la France rappelle au pouvoir tchadien qu’il faut toujours compter sur lui pour mettre hors d’état de nuire toute incursion rebelle.

Pour Saleh Kebzabo, l’intervention de la France est une faute politique dangereuse et le rôle de Barkhane est de lutter contre le terrorisme international et non de mater une rébellion interne.

Mais en tout état de cause, cette attaque des Mirages 2000 français dans le Nord-Est du Tchad sur les rebelles reste jusque-là ombrageuse et le nationalisme tchadien court un grand risque.

DJIMNAYEL NGARLENAN

                                 

Accident : Excès de vitesse et effet de l’alcool !

Un accident s’est produit vers 02 heures du matin, ce vendredi 08 février au rond-point de La Fontaine au quartier Kabalaye de N’Djamena. Le véhicule de marque Toyota Land cruiser a fait tonneau avant de percuter le rond-point.

« L’homme au volant du véhicule est sorti vivant et sans blessure », raconte un témoin. Aux alentours du rond-point, les gens interrogés sur l’accident, racontent qu’à partir de 00 heure jusqu’à 05 heures du matin, les gens roulent à vive allure. Tant tôt, ils trouvent la voie libre à ces heures et arrivé au rond-point, ils ne peuvent plus contrôlés leur volant alors soit, ils ramassent quelqu’un ou ils se cognent au rond-point.

D’autres par contre, sous l’effet de l’alcool roulent très vite et parfois dorment au volant et c’est ce qui provoque des accidents de circulation.