Société : Une femme porte plainte contre son mari pour avoir assassiné sa fille de 3 ans

C’était le vendredi 15 mars 2019, après la prière de la mosquée vers 5h20mn du matin, que le père de la fille avait annoncé aux habitants du quartier Ndjari dans le 8ème arrondissement le décès de sa fille.

Un témoin souligne que le père de la fille disait que sa fille est très têtue. Le jeudi 14 mars vers 15h la fille a pissé sur elle. Un acte mal gober par le père, tellement fâché, commence à matée sa progéniture (coups de pieds). Ne pouvant pas supporter, la mère réagit. Et à son tour, elle a été renvoyée par son mari de la maison. Le jour suivant, vendredi 15 mars, le père à la mosquée que sa fille a rendu l’âme. Pourtant sa maman a été renvoyée de la maison le jeudi 14 mars vers 15 heures selon le témoin du quartier.

Pour la mère, son enfant serait mort suite aux coups de pieds. « Celui qui la tué, parce qu’il l’a frappé fort, il l’a savaté aussi. Et lorsqu’il me sache de la maison directement le lendemain m’a fille est morte ! Il n’a pas voulu de petite fille, parce qu’il disait « farkha » bâtard en arabe», lance-t-elle avec des larmes aux yeux.

Selon les témoins du quartier « le père de la défunte a eu une relation hors mariage avec la mère il y a quelques années avant que le mariage soit normalisé. Alors l’enfant hors mariage, est un enfant naturelle « un bâtard ».

A la dernière nouvelle, la police a arrêté le père meurtrier hier dimanche 17 mars aux environs de 13h à son domicile au quartier Ndjari. Pour le moment il est placé à garde-à-vue au commissariat de la police de sécurité du 10ème arrondissement. En attendant, l’enquête se poursuit.

Affaire à suivre…

France : Acte 18 Gilet jaune, Pillage et incendie à l’Élysées

Le samedi 16 mars 2019, l’acte 18 des «gilets jaunes» a été marqué par une très forte reprise de violences à Paris, où 237 personnes ont été interpellées.

Les images de pillages et d’incendie du restaurant Fouquet’s, de magasins ou d’une succursale bancaire des Champs-Elysées ont tournées en boucle dans les médias. Même si, elles tranchaient avec celles des autres défilés globalement très calmes de dizaines de milliers de manifestants « gilets jaunes » ou pour le climat dans la capitale et le reste du pays.

Deux cents personnes ont été placées en garde-à-vue, dont 15 mineurs, selon le Parquet. Quelque 80 enseignes ont été touchés, dont une vingtaine pillés ou victimes de départs d’incendie, a précisé à l’AFP une association. Quelque 150 mètres cubes de déchets ont dû être ramassés à Paris, selon la mairie.

Au total 32.300 personnes se sont mobilisées dans toute la France selon l’Intérieur, mais 230.766 selon le décompte des «gilets jaunes» posté sur Facebook.

Quatre mois après le début du mouvement et au moment où s’achève le grand débat national, cette journée était présentée comme un «ultimatum» au président Macron, qui a annoncé dans la soirée écourter son séjour dans les Pyrénées où il était parti se «ressourcer» après sa tournée en Afrique.

Le président de la République, rattrapé par la crise des Gilets jaunes, veut frapper fort, après ce nouveau samedi noir sur les Champs-Elysées. Parmi les mesures attendues, une possible interdiction de manifester sur l’avenue.

Tronçon N’Djamena-Bongor-Kélo : Le calvaire des usagers

A peine une décennie, les routes bitumées au Tchad sont en état de dégradation très avancée. Il suffit de circuler à l’intérieur des grandes villes et voyager pour se mettre à l’évidence. Kita Ézéchiel, Reporter à Tachad.com de retour de Sarh.

Voyager à l’intérieur du Tchad est une souffrance insupportable pour la plupart des usagers. Du Sud au Nord et de l’Est à l’Ouest le constat reste le même. L’état des routes bitumées ne répondent plus. Les véhicules sont obligés de se frayer quelques fois d’autres voies dans le sable et en brousse. Ce qui ne facilite pas un bon trajet.

Par exemple le voyage sur N’Djamena-Bongor sur une itinéraire d’environ 300 Km il faut au moins 8-10 heures du temps et N’Djamena Sarh entre 20-22 heures du temps.

C’est un tourment pour tous les chauffeurs des automobiles. Avec de gestes si et là. Tourner le volant brusquement à droite ou à gauche tout en freinant, puis accélérer et redresser le volant avec plus de prudence! Tous ces gymnastiques pour éviter les trous et crevasses sur les tronçons N’Djamena-Bongor-Kélo.

Par endroits, les chauffeurs sont mêmes obligés d’abandonner la voie bitumée pour se frayer des chemins sur les bas-côtés de la route. Pour conséquence, le trafic est perturbé dans les deux sens et les voyageurs sont exposés aux risques d’accidents.

Ces gros nids de poule et des bordures des rues dégradées font partie des principaux vecteurs d’accidents en ces derniers temps sur cet axe principal de la partie Sud du Tchad, témoignent les usagers.

Un voyageur rencontré affirme que « les routes construites en latérites depuis bientôt 40-50 ans ne sont pas dégradées de la manière dont sont dégradées les routes bitumées ». « Comment peut-on parler de développement économique sans parler des voies de communications ? » Se demande-t-il.

« Sans compter les taxes et impôts que paient les agences de voyage et d’autres transporteurs, les recettes que font les postes de péages installés tout au long des principales voies pourront aider à racler les chaussées dégradées pour réduire certains, mais hélas ! Rien n’est fait avec cet argent collectés à longueur des journées », se lamente M. Masdoumngar, enseignant de son état dans le bus de la Société Tchadienne de Transport et de Location (STTL) sur la route de Bongor à Kélo.

Un chauffeur particulier rencontré à l’agence de voyage de Kélo, raconte que «la relance économique voulue par le gouvernement doit passer par la voie de communication surtout la construction de bonnes routes».

« Le seul problème au Tchad c’est le manque de volonté politique», lance de son côté, Halimé à l’agence de Moundou.

Les cris des usagers ne cessent de parvenir aux pouvoirs publics mais les réponses ne tardent à venir.

En attendant les travaux d’entretien ou de réhabiliter de ces tronçons, les voyageurs doivent s’armer de patience pour se rendre à Bongor-Moundou et Moundou-Sarh!

 

COP 2020 : LES PRIORITES 2020 ET LA STRATEGIE D’INTERVENTIONS

L’atelier de consolidation du plan opérationnel pays (cop 2020) pour les réfugiés au Tchad, se tient depuis ce matin à Ledger Plazza. Cet atelier se focalise sur les priorités 2020 et la stratégie d’interventions, suivi de la restitution des travaux de groupes et principales recommandations que vous découvrirez dans la suite de l’actualité.

ALLARAMADJI INNOCENT

CEMAC : Deby appelle les camerounais à surpasser leur divergence

Les rideaux sont tirés hier samedi 16 mars 2019 sur la 10ème édition de la journée de CEMAC à N’Djamena. À cette occasion, le président de la République du Tchad, Idriss Deby Itno s’est exprimé sur la crise qui sévit depuis deux ans et demi dans les deux régions anglophones du Cameroun.

Le Chef d’État tchadien, Idriss Deby président en exercice de la Communauté Économique et monétaire de l’Afrique Centrale  a dans son  discours appelé le peuple camerounais, à dénouer avec la crise dans les deux régions anglophones du Cameroun qui à tant perduré et a causé la perte des vies humaine et a fait plus de 500 000 déplacés. En sa qualité de président en exercice de la Conférence des Chefs d’État de la CEMAC , Idriss Deby a exhorté les camerounais à surpasser leurs divergences.

«J’invite mes frères camerounais à la sagesse et au dépassement en vue de ramener la quiétude dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du sud-ouest en proie à des violences sur des bases de revendication sectaire et identitaire», Conseil-t-il avant de dire que «nous ne pouvons tirer le meilleur parti de la libre circulation intégrale sans la paix dans nos pays et la sécurité à nos frontières. Il est évident que la mise en œuvre optimale de nos multiples projets et programmes de développement ne peut s’opérer dans un espace miné par l’insécurité, les atrocités, les destructions et les conflits ».

Deby de conclure que : « La restauration de la paix et de la sécurité sur l’ensemble de notre espace doit-elle, être pour nous, un impératif de premier ordre. Nous devons davantage mutualiser nos forces, dans un fort élan de solidarité, en vue d’éradiquer les terroristes de Boko Haram qui nous causent tant de préjudices ».

 

 

Un match de football referme la 10ème journée de la CEMAC 2019

C’est à l’occasion de la clôture de la 10ème journée de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), qu’un match final de football entre l’équipe du Cameroun et celle de la Guinée-équatorial a été joué hier 16 mars au stade Idriss Mahamat Ouya de N’Djamena. Le Cameroun remporte par les tirs au but.

Au total six (6) équipes venant des différents écoles de foot de N’Djamena ont représenté les Etats membres de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), à savoir le Tchad, le Cameroun, la Guinée équatorial, la République Centrafricaine, la République du Congo et le Gabon. Au final l’équipe du Cameroun se trouve face à l’équipe de Guinée équatorial. Après avoir passé les 90 minutes de jeu, les deux équipes se trouvent en égalité avec zéro à zéro (0-0).

Comme dans chaque final de football, il faut absolument un gagnant. Chaque équipe a choisi ces 5 meilleurs tireurs de but, mais le score de la 1ère série des tirs donne 3 buts par tout. Ensuite 2 tirs sont accordés pour qu’au moins une équipe reste vainqueur. D’où l’équipe du Cameroun va faire la différence. Sur les deux tires au but, la Guinée-Equatorial s’incline 1 contre 2 pour le Cameroun.

Le Représentant-Résident de la Commission de la CEMAC au Tchad, Yaya Dillo Djerou Betchi se dit satisfait du résultat. Il a souligné que la libre circulation des biens, des personnes et de capitaux est l’un des trois piliers de la CEMAC.

Pour M. Yaya Dillo Djerou Betchi les débats sur le franc CFA « depuis quelque temps sur les réseaux sociaux et différents canaux de communication, est un faux débat développé autour de la monnaie unique qui caractérise la solidarité de la sous-région. « Le franc CFA assure la stabilité financière de nos sous-régions. La mauvaise gestion qui caractérise nos Etats est plus forte que le franc lui-même. Je ne dis pas que le franc FCA est une monnaie idéal mais dans les conditions actuelle de nos économie, permet d’assurer la stabilité financière de nos sous-régions », dit-il.

Ce match vient clôturer les trois jours des travaux de la journée de CEMAC.

Revue de presse : Pénurie de gaz butane

Bien avant même que, commence les travaux de la maintenance de la raffinerie de Djarmaya le 23 février 2019, la population souffrait déjà du manque de gaz butane.

« Pénurie de gaz », les citoyens sont-ils condamnés  à mourir de faim ? S’interroge le trimensuel Abba Garde. « Gouverner c’est prévoir », dit-on. Mais le gouvernement tchadien est spécialiste des décisions prises à la hâte, sans mesures d’accompagnement ou avec des mesures qui ne sont pas pérennes. Plus de charbon, plus de bois de chauffe, le gaz est rare. Dépassés, certains ménages ont recours aux fruits et feuilles de palmier doum, à la bouse des bœufs pour cuire les aliments. D’autres se ruent sur les meubles en bois un peu usés ou encore se servent des vieux seaux, nattes, chaussures, etc. avec des risques évident pour la santé des utilisateurs.

« Gémir ne suffit pas » titre l’éditorialiste de Le Citoyen. Les tchadiens gémissent toujours sur leur sort face au dysfonctionnement de leur administration publique. Les tête-à-tête des quartiers, des bureaux, des cafés, des dancings et mêmes des cimetières, etc., évoquent cette nouvelle donne. Les responsables administratifs sont montrés du doigt, malgré le courroux du Chef de l’Etat qui ne manque aucune occasion pour fustiger les attitudes contreproductives.

Le Sahel dans sa rubrique vie dans la cité, titre d’un nouveau film « Moukhbar » pour décrire les maux. C’est un film de 195 minutes qui relate l’histoire de la ville Bouzokidé, une province reconnue pour sa cherté de la vie d’où aucune autorité  de la localité n’intervient pour le changement. La population devient victime vis-à-vis des prix de denrées alimentaires élevés.

L’Observateur tire sur la semaine nationale de la femme tchadienne (SENAFET) « Que du folklore et de promesses ». Le journal souligne que la seule recommandation qui a attiré plus ou moins l’attention des femmes tchadiennes, est celle qui demande au gouvernement de rendre disponible et permanent le gaz butane et à un prix raisonnable. Il poursuit en son éditorial dans les 5 premiers points, il ne fut question que de pagne, de pagne et de pagne. La question u gaz butane ne vient qu’en sixième position. Les femmes ont jugés plus important d’institutionnaliser les pagnes ainsi que leur confection par l’Etat que de demander une subvention plus grande du gaz, énergie indispensable toute l’année pour les foyers.

Société : Construire la paix par le développement durable

L’association tchadienne pour l’action humanitaire la paix et le développement durable et l’association des retraités et démobilisés de l’armée tchadienne ont conjointement animé un point de presse ce matin 16 mars 2019 à la maison des média du Tchad pour annoncer le projet paix et sécurité par le dialogue inclusif et le développement durable participatif.

Un projet qui selon les deux associations vise à promouvoir la paix et la sécurité à travers le développement durable. Selon le président de l’association tchadienne pour l’action humanitaire, M. Abakar Youssouf Zaid, seul le développement peut être une arme pour lutter contre l’extrémisme et la rébellion car le manque de l’emploi entraine une déperdition de la jeunesse qui se lance dans des pratiques immorales.

Le projet est né de suite des constations, de la lecture de l’actualité politique et économique du Tchad depuis quelques années. Pour les porteurs dudit projet, l’initiative citoyenne « paix et sécurité par le dialogue inclusif et le développement durable participatif » est une contribution à la 4ème.

M. Abakar Youssouf Zaid indique que « La paix rapide par les armes est non seulement ruineuse mais aussi partielle et éphémère. Par contre la paix par le développement est durable et principe de stabilité tout étant moins couteuse sauf qu’elle s’inscrit dans la durée », d’où la question de créer des opportunités d’emploi aux jeunes.

Le projet s’étend sur une durée de quatre (4) ans et va permettre de mettre fin bien qu’à la déstabilisation du Tchad et la crise économique ou politique et fédérer les  forces vives de la nation pour construire un Tchad où règne la stabilité socioéconomique et politique afin de renforcer la bonne gouvernance démocratique.

La zone saharienne (grand BET) et sahélienne (Lac Tchad) sont cornées par ce présent projet pour un cout global d’un milliard quatre cent soixante quinze mille francs CFA.

 

 

 

SAFAGRI : Le rideau se referme sur la phrase de : « L’Afrique peut nourrir l’Afrique »

Disait le Président Burkinabé Mark Christian Kabore qui a clôturé la 1ère édition du Salon Africain de l’Agriculture (SAFAGRI) hier vendredi 15 mars au Palais du 15 janvier à N’Djamena en présence du Chef de l’Etat Idriss Deby Itno.

Organisé par le Ministère de la Production, de l’Irrigation et des Equipements Agricoles du Tchad avec le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sècheresse dans le Sahel (CILSS), ce salon a regroupé près de 40 pays venus de quatre coins du monde.

Durant quatre jours, le ministre de l’agriculture du Burkina Faso, par ailleurs coordinateur du CILSS et la ministre la production, de l’irrigation et des équipements agricoles du Tchad ont, à travers des débats ressorti 11 recommandations qui ont été adoptées par les participants mandaté le CILSS pour que cette événement soit une manifestation continentale.

Parmi ces recommandations, poursuivre le SAFAGRI soit institutionnalisé sous l’égide de l’Union africaine, accélérer la mise en œuvre de la libre circulation des biens et services, considérer le SAFAGRI comme une opportunité pour les pays et les populations afin s’affranchir la dépendance alimentaire vis-à-vis de l’extérieur, accélérer les financements des infrastructures régional, énergique, réseaux routiers, équipement des matérielles d’exploitations, l’infrastructure de stockages, faire l’éradication de la fin dans nos pays, etc.

La Ministre de la Production, de l’Irrigation et des Equipements Agricoles, Madame Lydie Béassemda a formulée que « le SAFAGRI est un bébé, dont le père est CILSS, et la mère est tchadienne ».

Pour le président du Burkina Faso, Roch Marc Christian Kaboré, par ailleurs président en exercice du CILSS, qui a prononcé le discours de clôture du salon, par « la transformation des chaînes de valeurs agro-sylvo pastorales et halieutiques africaines est aussi un facteur de renforcement de la résilience de nos populations, face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle».

A la fin de la cérémonie de clôture, une visite des stands d’exposition par les deux chefs d’Etat leur a permis de découvrir un échantillon du potentiel agricole du Tchad. Rendez-vous a été pris pour 2020, toujours à N’Djamena, pour la deuxième édition. Et les expositions seront ouvert jusqu’à dimanche 17 mars au palais du 15 janvier.

Tchad : Une remise collective de peines aux prisonniers de droit commun

Suite à la décision relative au décret du 14 mars 2019, le président de République, Idriss Deby Itno accorde une remise collective de peines aux condamnés de droits communs. Les conditions d’application des remises de peines sont les suivantes :

– aux condamnés à des peines supérieures à deux mois sans excéder cinq mois : une remise de peine de deux mois ;

– aux condamnés à des peines supérieure à cinq mois sans excéder un an : un remise de peine de cinq mois ;

– aux condamnés à des peines supérieures à un an sans excéder deux ans : une remise de peine de 10 mois ;

– aux condamnés à des peines supérieures à deux ans sans excéder cinq ans : une remise de peine de 18 mois ;

– aux condamnés à des peines supérieures à cinq ans sans excéder dix ans : une remise de peine de trois ans ;

– aux condamnés à des peines supérieures à 10 ans : une remise de peine de cinq ans ;

Les peines des condamnés aux travaux forcés à perpétuité sont commuées à 20 ans de prison.

Pour les condamnés à des travaux à temps de 15 à 20 ans de prison, une remise de peine de 10 ans est accordée.

Le décret indique que les remises de peines ne préjudicient pas aux droits de l’Etat, des parties civils et des tiers. Les condamnés ne peuvent bénéficier que d’une seule remise de peine pour leur condamnation en cours. Le ministre de la Justice est chargé de l’application du décret qui prend effet à compter du jeudi 14 mars 2019.