CULTURE : TRANCHES DE VIE, TOME II DEJA DISPONIBLE

L’auteur du récit autobiographique, controversé, Tranches de vie tome I sorti en 2013, a, de nouveau, publié un autre récit TRANCHES DE VIE tome II, ce samedi 23 aout 2019 au CEFOD de N’Djamena.


Paru aux éditions du SCHABEL, le livre relate l’histoire de l’auteur au sein de son parti politique le MPS d’où ABAKAR SOULEYMANE, intitule « Mes 322 jours au cœur du pouvoir MPS : la Présidence de la République du Tchad ».
Dans une ambiance très émotive, parsemé des témoignages, des remerciements, l’auteur veut montrer, à travers son récit de 149 pages, la voie à la jeunesse tchadienne pour dénoncer les mauvaises pratiques dans le système de gouvernance. Ce document, une suite du livre (Tranches de vie, tome I publié en 2013), est une narration du parcours de l’auteur de son enfance à la présidence en passant par les multiples péripéties de son militantisme au MPS avec ses déboires-ses pièges-ses coups bas, son combat, ses souvenirs ses obligations familiales mais aussi sa réflexion et sa pensée politique après 59 ans d’indépendance.


Autrefois conseiller technique à la présidence, Directeur General adjoint des abattoirs, ABAKAR SOULEYMANE est un Vétérinaire de formation et prépare sa thèse en sciences sociale à l’Université de Yaoundé II Soa. Marié et père de cinq enfants, l’auteur est né le 10 Mai 1956 à Fort Lamy(N’Djamena).


Il fait partie des caciques du MPS, mais combattu par ses camarades parce qu’il dénonçait et dénonce les mauvaises pratiques de sa propre formation politique.

NADJINDO Alex Journaliste stagiaire

Média : Le Patron de Presse Tchadienne, célèbre ses deux ans de vie

Le Patronat de la Presse Tchadienne (PPT) célèbre son deuxième anniversaire ce samedi 24 à travers une causerie débat placée sous le thème : « Journalisme et réseaux sociaux ».

Animée par les professionnels des média, la causerie vise à amener les jeunes, étudiants et d’autres personnes  à comprendre la différence entre les réseaux sociaux et les média.

Le président du patronat de la presse tchadienne, Allahondoum Juda souligne que force est de constater que ces derniers temps, il y a une confusion générale dans l’exercice du métier de journaliste et celui d’activiste. Pour lui beaucoup de personnes détiennent des sites et des blogues qui informent mais il fau amener le public à faire la différence entre ce qui est de l’information et ce qui ne l’est pas. « C’est dans cette vision que nous avons choisi ce thème qui est « le journalisme et les réseaux sociaux », dit-il

A l’heure des TIC, les réseaux sociaux ont une importance capitale dans la diffusion de l’information. Ils constituent une source d’information non négligeable aujourd’hui dans le paysage médiatique, soulignent les panélistes.

Différence entre les réseaux sociaux et les média

La différence est que les média sont régis par des lois et textes et ont une définition différente que celle des réseaux sociaux. Les  réseaux sociaux sont détenus par n’importe qui et peuvent diffuser n’importe quoi tandis que les nouvelles publiées par les média sont vérifiées et les auteurs assurent la responsabilité.

Participant à la causerie débat du PPT Ph/Tachadcom

Béchir Issa Hamidi, journaliste professionnel et porte parole du ministère des affaires, indique que les réseaux sociaux sont entre les mains des individus qui peuvent informer et/ou déformer. Ils sont une source d’alerte et aussi un outil de promotion de même ils sont en concurrence avec les média classiques.

Pour Mamadou Djimtébaye, communicateur professionnel et le patron du journal Tchadinfos quand une information est balancée par les réseaux sociaux, les journalistes doivent aller vérifier pour avoir plus d’information et vérifier la source.

Le Blogueur et le journaliste

La causerie a donné aussi lieu aux participants de connaitre qui est blogueur et journaliste. Les panélistes ont clarifié qu’un journaliste est régis par l’éthique et la déontologie du journalisme. Il est responsable de ses écrits, par contre le blogueur est libre, il publie ce qu’il aime et veut sur son site.

Cette causerie a permis aux participants de déplorer le comportement de certains journalistes qui se transforment en activistes au lieu de faire. Les responsables des média ont saisi aussi l’occasion pour tirer l’attention des journalistes d’être vigilants quant aux informations publiées sur les réseaux sociaux.

Mali : La téléphonie Orange Mali exploite ses abonnés

Le Mali est le seul pays, en Afrique, où les appels tombant sur le répondeur d’Orange sont facturés. Cette pratique quasiment exploitatrice a fait d’Orange-Mali, la filiale d’Orange la plus rentable sur le continent africain.

Selon nos informations, ces appels tombant sur le répondeur lui rapportent, chaque jour, la bagatelle de 30 millions de FCFA. Une somme transférée, quotidiennement, à sa filiale de Dakar.

Dans les pays voisins, comme la Guinée-Conakry, le Sénégal ou le Niger, les appels tombant sur le répondeur ne sont pas facturés au client. Les Maliens sont les seuls dans cette situation.

Au Niger voisin, la filiale d’Orange vient d’être fermée par le gouvernement, pour avoir refusé de se plier à un redressement fiscal de plus de 22 milliards CFA.

Qu’attendent alors les associations de consommateurs pour porter plainte contre Orange pour « abus de faiblesse. » ?

Guindo Issiaka, correspond Tachad.com au Mali 

Santé : UNICEF offre un camion de 9 tonnes pour renforcer la distribution des vaccins dans le Lac

C’est dans le but de renforcer la capacité de distribution régulière de vaccins et autres intrants dans les districts sanitaires du Bassin du Lac Tchad, que l’Unicef offre à la sous-direction de vaccination un véhicule tout terrain de 9 tonnes.

 Le camion aidera le ministère de la santé et ses partenaires à renforcer la capacité de distribution des vaccins afin d’atteindre l’objectif 90% de la couverture vaccinale. La Représentante de l’Unicef au Tchad, Viviane Van Steirteghem indique que l’approvisionnement et de la distribution régulière des vaccins et autres intrants dans les districts sanitaires et zones de responsabilité demeure un des problèmes et un défi majeur à relever.

Malgré les efforts fournis par le gouvernement, le programme élargi de vaccination (PEV) fait face à d’énorme difficulté dans le bassin du Lac Tchad. Notamment la faiblesse des indicateurs du PEV de routine, l’insuffisance de l’offre de service et dans la coordination, une faiblesse de la demande, insuffisance de la chaine de froid, faible performance dans le système de distribution et de gestion des vaccins…

C’est pourquoi, la représentante de l’Unicef Dr Viviane Van Steirteghem constate, que certes de nombreuses insuffisances sont notifiées ce qui ne permet pas de réduire le taux de morbidité et de mortalité des enfants dues aux maladies évitables par la vaccination. « Il est donc important de développer des stratégies de mobilisation des ressources afin de pallier à l’insuffisance d’équipement pour améliorer la chaîne de froid, performer la logistique de délivrance des vaccins, susciter un réel engagement ou la prise de conscience encore trop limitée des parents et les gardiens d’enfants à faire vacciner leurs enfants », souligne Dr Viviane Van. Ajoutant que d’autres équipements seront donnés dans les prochains jours pour améliorer d’avantage le circuit de distribution des vaccins et la chaîne de froid.

Don de l’Unicef au ministère de la santé publique

En réceptionnant ce don, le ministre de la santé publique Pr Mahamoud Youssouf Khayal a déclaré que dans un contexte marqué par des faibles taux de couverture vaccinale en équipement de la chaine de froid, l’obligation s’impose de trouver des alternatives afin d’optimiser les coûts de transport des intrants. « C’est dans cette optique que s’inscrit la livraison de ce camion à titre de don au ministère de la santé publique sur le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates », ajoute-t-il.

Le souci de faire vacciner tous les enfants afin d’éviter les maladies évitables par des vaccinations à amener les acteurs et partenaires du système de santé  à soutenir le Tchad dans l’atteinte de l’objectif 90% de couverture vaccinale d’ici décembre 2019.

A cet effet, l’Unicef s’est attelé à mobiliser un financement auprès de la Fondation Bill & Melinda Gates pour mettre en place un modèle de système de vaccination dans 11 districts sanitaires identifiés prioritaires du bassin du Lac Tchad.

Politique : L’opposition, vers une issue prometteuse?

Lassées de s’entredéchirer, les opposants de Deby ont décidé, enfin, de  se mettre ensemble pour préparer les élections législatives prochaines. Ils se sont rencontrés hier, jeudi 22 août, au siège de l’union pour le renouveau et la démocratie (URD).

Réunis au sein du cadre national de dialogue politique (CNDP), une formation sur  nomination toujours problématique, de 30 personnes sur proposition des partis d’oppositions et de la majorité présidentielle. Les partis d’opposition ont tenu une assise dans l’après-midi du 22 août pour enterrer leurs haches de guerre, du moins pour le moment, et parler un langage commun. 

Le message de cette nouvelle ère est porté par le chef de file de l’opposition Romadoumngar Félix Nialbé qui affirme : « Il faudra bien que l’opposition se ressaisisse pour préparer les élections législatives à venir. J’ai commencé par prendre contact avec beaucoup de chefs de partis de l’opposition qui semblent contester cette liste. Nous sommes en train de mettre de l’eau dans notre vin ».

Le Cadre national de dialogue politique, ne fait toujours pas l’unanimité dans l’opposition et ce malgré qu’il a été mis en place par le président de la République, récemment.  Une partie de l’opposition dénonce la présence sur la liste des opposants proches du parti au pouvoir. C’est l’avis de Mahamat Ahmat Alhabo, secrétaire général du Parti pour les libertés et le développement (PLD) et ancien membre du CNDP :

« Les éléments de l’opposition sont inscrits au nom de l’opposition, mais tout le monde sait que ce sont des sous-marins de la majorité et qu’ils n’obtiendront presque rien et qu’on va tout droit à des élections qui ne sont ni transparentes ni démocratiques ni apaisées. »  Dénonce-t-il. Cette guerre interne, avantage l’adversaire, la majorité, qui demande une entente le plus vite possible entre les opposants afin de respecter le calendrier électoral prévu pour la fin de l’année 2019.

NADJINDO Alex/ Journaliste Stagiaire

Tchad : huit projets de décret ont été examinés

Le conseil extraordinaire des ministres a examiné huit projets de décret et a suivi une communication à son ordre du jour ce vendredi 23 Août 2019.

Des projets de décret sont renvoyés pour approfondissement. Il y’a quatre projets de décret introduits par le ministère du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion du Secteur privé ainsi que quatre autres, soumis au conseil par le ministère de l’Aménagement du territoire, du Développement de l’habitat et de l’Urbanisme.

Des enjeux financieres et socioéconomiques qu’ils auront sur la vie des populations, ces projets de décret sont renvoyés pour étude minutieuse.

<< retenons que la spécificité de cette rencontre de haut niveau est d’avoir préparé la première édition du forum prévue en Septembre prochain sous les auspices de l’Assemblée générale et à laquelle prendront part les Chefs d’État et de Gouvernement>>, a indiqué Issa Doubragne.

Tout en saluant les efforts faits par le Tchad, le ministre a conclu en émettant les vœux pour une synergie d’actions entre les ministères et Institutions en vue d’une appropriation véritable des ODD.

Le porte parole du gouvernement, Oumar Yaya Hissein a pour sa part salué les efforts du President dans sa lutte contre la pauvreté <<Le Président de la République qui fait de la lutte contre la pauvreté, l’axe majeure de sa politique de développement, a salué les efforts des partenaires techniques et financiers mais a insisté sur la mobilisation des ressources internes et le développement du secteur privé, conditions sine qua non de la croissance économique du Tchad et de l’atteinte des objectifs de développement>>, a-t-il indiqué

L’état d’urgence : L’Ambassade des États-Unis, appelle à un règlement pacifique des conflits

Suite à l’état d’urgence dans le Tibesti, le Ouaddaï et le Sila, l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique du Tchad, a dans un communiqué de presse signé ce vendredi 23 août exhorté les personnes au Tchad à rechercher des moyens pacifiques pour régler les conflits et respecter l’Etat de droit. Le document souligne que l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique du Tchad  s’est engagé à promouvoir la stabilité, la sécurité  et le respect de la dignité de toutes les personnes.

#Tchad-Sport: EMMANUEL Tregoat de retour?

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Longtemps resté dans les coulisses et incertain, c’est désormais presqu’officiel son retour. Emmanuel Tregoat prendrait les rênes de la sélection nationale à partir du prochain match des Sao le 5 septembre à khartoum.


Quelle qu’elle soit la situation ou le moment de son retour, l’histoire du football tchadien et ce nom sont étroitement liés : 1er trophée du football tchadien (2014, coupe de la CEMAC) et Emmanuel Tregoat celui qui l’a fait. Mais seulement l’histoire n’est pas complètement rose pour l’homme, la cinquantenaire révolue qui revient pour la face B de sa cassette.
Parti sur une défaite cuisante face à l’Egypte (1 – 5 en 2016 comptant pour la 2e journée des éliminatoires de la CAN 2017), Emmanuel Tregoat revient avec une nouvelle mission, doublement assignée : se qualifier dans la poule des éliminatoires de la CAN Cameroun 2021 et la phase finale de ladite compétition. L’on se demanderait si le goût de la 1re partie est déjà dissipé avec le fil du temps ? Pourquoi encore lui pour remplacer Djimta Yamtamadji installé à peine 2 mois par le même ministère à la commande de l’équipe nationale ? Djimta n’a-t-il pas les épaules larges pour la suite ? Juste après être éliminé dès les préliminaires du CHAN.


Le même temps demandé par Tregoat pour faire asseoir une équipe n’est pas donné à l’équipe de Djimta qui se voit expulsée. Les mêmes moyens sollicités par le staff technique national ne leur sont pas accordés moins encore à Tregoat quand il avait la clé de l’équipe (entre 2014 – 2016). L’histoire nous rappelle que l’équipe nationale a passé une partie de son stage bloqué à Paris dans les rues, faute de moyens. Le miracle est déjà accompli ? Ou les paroles du Chef de l’Etat sont entendues et les choses sont déjà prises au sérieux ?
En attendant, ce que l’on retiendra d’Emmanuel Tregoat est qu’il était très mal compris, lui qui a misé sur la jeunesse et pensé sur la durée. Il avait payé les frais de son vouloir bien faire sous l’impulsion de ses exigences qui ne sont autres que normales exigences pour une équipe nationale de football digne d’un Tchad qui se veut prendre part au concert des nations. Maintenant qu’il revient, que va-t-on attendre de lui ? En moins de 2 semaines pour un match capital. Avec quel groupe de joueurs ? Des jeunes ou des « vétérans » ?
On le saura à l’issu des préparatifs et du match du 5 septembre prochain ici à N’Djaména.

Source:FootTchad+

Le Tchad enregistre le taux d’allaitement maternel exclusif le plus faible

Le Tchad et ses partenaires se soucient de la promotion de l’allaitement maternel exclusif. Cependant la course du Tchad pour l’atteinte de 50% de mise au sein maternel est loin d’être atteinte. Seulement une femme sur six pratique l’allaitement maternel exclusif.  

Sur le plan national, la couverture en allaitement maternel exclusif au Tchad est la plus basse des standards mondiaux recommandés par l’organisation mondiale de la santé (OMS). La pratique observée par les femmes n’est pas bonne, indique Dr Ferima Coulibaly Zerbo de l’OMS. « Au niveau national 87,3% des femmes allaitent leur bébé jusqu’à un an et au-delà,  36,5% des enfants de zéro à 23 mois ont bénéficié d’une mise dans la première heure qui a suivi leur naissance et au moins une femme sur six pratique l’allaitement maternel exclusif, soit 17,7% », renseigne-t-elle.

Selon une évaluation faite par l’OMS en 2016, en Afrique, seulement 4% des nouveaux-nés sont est enregistré dans les hôpitaux labellisés amis des bébés. En 2018 l’allaitement maternel était de 42% pour les premières heures de vie et 41% des nouveau-nés sont nourris exclusivement au sein.

L’évaluation montre également, que le taux médian d’allaitement maternel exclusif est estimé à 41,9% entre 2002 et 2015. « Toutefois environ un tiers des pays de la région ont déjà atteint le seul de 50% d’allaitement maternel exclusif », a indiqué Dr Ferima Coulibaly Zerbo, représente du représentant de l’OMS au Tchad.

Le Tchad est l’un des pays de l’Afrique centrale classé loin du seuil fixé par l’OMS. Ce manque, selon l’OMS nécessite une stratégie d’accélération autre que les méthodes habituelles d’allaitement maternel pour atteindre la cible mondiale qui est de 50% d’allaitement exclusif pour les nourrissons de zéro à six mois en 2025. Un barème dont les pays se sont engagés au cours de la 65ème assemblée générale mondiale de la santé depuis 2012.

Parmi les pays ayant atteints le seuil de 50%, le Rwanda figure en tête avec un taux de 87,7%, le Burundi, l’Érythrée, le Kenya et l’Ouganda ont atteint un taux supérieur à 60% d’allaitement exclusif pour les nourrissons de zéro à six mois.

La course du Tchad

Pour atteindre cet objectif de 50% en 2025, le Tchad doit revoir sa politique de pratique. Il doit mutualiser ses efforts avec ses partenaires techniques et financiers, le respect et l’application de la feuille de route élaborer au cours de la formation  sur l’orientation pour la redynamisation de l’initiative hôpitaux amis des bébés (IHAB) tenue à Bakara du 20 au 22 août 2019. La feuille de route défini 10 étapes pour permettre l’intégration des pratiques managériales et cliniques de l’IHAB dans les piliers de renforcement du système de santé.

Le Directeur de la nutrition et de la technologie alimentaire (DNTA) Mahamat Béchir a souligné que malgré les efforts consentis par le Tchad,  le taux reste encore très faible en comparaison avec les pays de la sous-région.  

L’AJPNV sensibilise la jeunesse sur l’éducation civique et citoyenne

L’Association Jeunesse pour la Paix et la Non-violence a lancé ce jeudi 22 août 2019 dans son siège situé au quartier Amtoukoui, dans la commune du 7ème arrondissent de N’Djamena, une campagne de sensibilisation, d’éducation civique et citoyenne.

« Citoyen je suis, citoyen je reste », « mon vote est sacré, respectez mon choix », c’est sous ces deux slogans que la campagne de sensibilisation a été lancée par le président de l’Association Jeunesse pour la Paix et la Non-Violence, Nodjigoto Charbonnel. Cette campagne vise à sensibiliser les jeunes sur la valeur civique et faire d’eux les citoyens modèles.

Pour le président de l’AJPNV, c’est partant du constat de la non-participation des jeunes et des femmes aux différentes échéances électorales passées que son association s’est assignée pour mission d’interpeller la jeunesse de n’est pas être observatrice, mais de s’impliquer massivement aux échéances à venir. Il les exhorte à s’inscrire normalement sur la liste électorale au moment venu. « Car être un citoyen, c’est participer activement aux affaires de son pays, apporter sa pierre à la construction de l’édifice, autrement dit on n’est pas un bon citoyen », indique-t-il.

Cette campagne de sensibilisation d’éducation civique et citoyenne qui vient d’être lancée par l’AJPNV sera suivie des ateliers de formation pour le renforcement des capacités des jeunes. Ainsi, ces derniers seront les représentants de l’AJPNV auprès de leurs communautés et en faire un large écho pour le changement de comportement pour les futurs scrutins.

BAYE NGARDIGUINA et YORHEIN ONGSI ARISTIDE/Journalistes Stagiaires