Education : 167 écoles privées seront fermées et les enseignants de l’Etat n’interviendront plus dans les privées.

L’annonce est faite suite à la présentation de rapport d’évaluation des établissements d’enseignement primaire et secondaire dans la ville de N’Djamena, par le ministère de l’éducation nationale et de la promotion civique, jeudi 29 août 2019.

« Il ne s’agit pas de prendre quelqu’un qui sait lire et écrire et venir lui donner une salle de classe pour enseigner les enfants », a harangué le ministre de l’éducation nationale et de la promotion civique, Abakar Assidick Tchoroma, lors de la présentation de rapport de mission effectuée du 15 novembre 2018 au 03 juin 2019 dans les 1025 établissements scolaires privés de la capitale. La mission consiste à s’assurer de la conformité aux normes régissant l’enseignement privé et la qualité de l’enseignement.

Sur 1025 établissements privés recensés, 167 ne respectent pas les normes et doivent être fermés. Selon le directeur de l’enseignement privé, Lol Ali Choua le décret 1916 du 24 décembre 2018 détermine bien les normes dont un établissement d’enseignement prive doit respecter.

Rappelant à l’ordre ces établissements pointés de doigts, le ministre de l’éducation et de la promotion civique, Abakar Assidick Tchoroma a indiqué que « Chaque promoteur privé doit avoir ce document, le lire et savoir exactement ce qui lui revient comme responsabilité en pensant ouvrir un établissement privé ».

Abakar Assidick Tchoroma a mis en garde les promoteurs des écoles privées contre l’utilisation des enseignants de l’Etat. Un ultimatum est donné à cet effet. « A partir de cette année, un enseignant qui déserte les écoles publiques pour aller travailler dans le privé, celui-là doit être sanctionné et l’école également doit être sanctionnée »,  a sommé le ministre.

Pour une bonne qualité de l’enseignement dans les établissements privés dans la ville de N’Djamena, Abakar Assidick Tchoroma a annoncé que  des  descentes périodiques seront faites pour voir le contenu des programmes d’enseignement, le nombre des enseignants et leur qualification.

Ce rapport de mission de contrôle et de recensement des établissements scolaires privés de N’Djamena, n’incrimine pas seulement les 167 établissements privés mais aussi les enseignants fonctionnaires du public sont sommés de ne plus intervenir dans les écoles privées.

Journée internationale des personnes disparues

La Journée internationale des personnes disparues, se célèbre chaque année le 30 août pour attirer l’attention sur le sort des personnes emprisonnées contre leur gré dans de mauvaises conditions et dans des lieux inconnus de leurs familles et/ou de leurs représentants légaux.

C’est pour mettre un terme aux emprisonnements secrets ou dans des circonstances troubles qui constituent des violations graves des droits de l’homme que cette journée se célèbre tous les 30 août et ce, depuis 2011. En décembre 2006, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, traité qui vise à prévenir les disparitions forcées et, lorsque de tels crimes sont commis, à établir la vérité, à punir les responsables et à fournir réparation aux victimes et à leur famille.

Qu’en est-il du Tchad ?

Le Tchad a aussi enregistré des cas de disparitions et le cas qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive est celui de l’opposant, Ibni Oumar Mahamat Saleh lors des évènements de février 2018 qu’a connu le pays. Une autre disparition et non de moindre est celle de Noubadoum Sotinan, journaliste à la radio diffusion nationale tchadienne, qui était en mission au Congo pour un travail environnemental avec deux de ses confrères de la télévision nationale. Une fois au Cameroun, il a fait escale dans un hôtel à Douala. Sur place, quand il a constaté que son passeport était invalide (expiré), il a attendu qu’une note lui soit envoyée pour autoriser son retour à N’Djamena. Depuis ce jour, il a disparu.

BAYE NGARDIGUINA OUSMAN/Journaliste Stagiaire

Politique : L’UNCT, dit non à la politique d’exclusion et demande l’implication de Deby pour mettre fin à cet état de fait

Le président du parti politique, Union nationale pour le changement au Tchad (UNCT), Adoum Hassane Issa dénonce dans un communiqué de presse, qu’il est victime d’une politique d’exclusion depuis son retour au Tchad en décembre 2014.

Le parti constate qu’après son retour au bercail le 14 décembre 2014, suite à la politique de la main tendue de monsieur Idriss Deby, qu’il est victime d’une politique d’exclusion ourdie par des personnalités qui lui sont hostiles, croyant pouvoir lui faire ainsi ombrage et ternir sa popularité. Pour lui ce sont des manœuvres qui visent le parti en question et aussi son président.

Le communiqué de préciser que, ces personnalités profitent de leur position sociale pour écarter l’UNCT et son président des rencontres organisées aux fins des concertations politiques nationales, par des manœuvres dangereuses. « C’est ainsi que l’UNCT et son président ont raté d’importantes occasions pour faire avancer la cause nationale autour des idées prenant en compte l’intérêt supérieur de la nation et les principes fondamentaux de la démocratie », souligne le document.

Pour l’UNCT, ces comportements sont empreints de méchancetés, d’égoïsmes et de myopie politiques notoires et demande au président de la Républiques d’intervenir personnellement pour mettre fin à cet état de fait afin de permettre au parti de prendre part à tous les débats politiques soumis à l’opposition démocratique. Le communiqué de préciser, que cet appel de l’UNCT, est en parfaite harmonie avec la constitution qui stipule que le président de la République est le garant du bon fonctionnement des institutions.

« Pour l’heure l’UNCT et son président se refusent de prêter le flanc aux provocateurs de tous poils dont le seul souhait est de les voir prendre la rue pour obtenir ce qu’ils revendiquent », rassure-t-il, ajoutant que « nous demeurons convaincus que le président de la république saura trancher en faveur du droit afin que l’hypothèse de la rue soit écartée ».

Le parti félicite par ailleurs le président Deby d’avoir instauré la paix solide rendue possible par le retour au pays de plusieurs organisations politico-militaires, tout en apportant son soutien indéfectible aux nouveaux membres du CNDP dont l’action contribue effectivement à l’amélioration de l’exercice de la démocratie

Pour finir, l’UNCT déplore les gesticulations de certains opposants, qui au lieu de s’en tenir à l’essentiel du combat de la consolidation de la démocratie, se livrent à des contestations stériles. « Nous exhortons l’opposition à davantage de cohérence pour être plus crédible devant l’opinion nationale et internationale », renchérit-il.

L’union nationale pour le changement au Tchad (UNCT), est un parti politique créé le 10 octobre 1995. Il a participé aux premières échéances présidentielles en 1996. Après cette participation, le président du parti, Adoum Hassane Issa à pris sa distance avec le pouvoir et aussitôt, il à pris le chemin de l’exile pour ne revenir qu’en décembre 2014 au pays où il compte apporter sa pierre de contribution à la vie politique et sociale du Tchad.

Tchad : Emmanuel Tregoat dévoile les noms de ses 24 poulains

Le Tchad se prépare à affronter à domicile le Soudan le 05 septembre prochain. C’est dans le cadre des éliminatoires de la coupe du monde 2022.

C’est seulement à quelques jours, que les noms de 24 poulains de Tregoat ont été connus ce jeudi lors d’une conférence de presse animé par le nouveau sélectionneur de l’équipe nationale tchadienne, Emmanuel Tregoat. L’équipe nationale est désormais constituée des 24 joueurs dont 9 locaux et 15 expatriés qui ont été convoqués. « Ces joueurs sont les meilleurs face au timing actuel », justifie Emmanuel Tregoat.

La liste des 24 joueurs convoqués

Après la signature de son contrat avec la fédération tchadienne de football association (FTFA), Emmanuel Tregoat a annoncé qu’il est  de retour au sein de l’équipe nationale du Tchad qu’il tant aimé.

Le coach des Sao se dit conscient du défi qu’il devra relever pendant une année, notamment la qualification du Tchad à la phase finale de la coupe d’Afrique des nations 2021 au Cameroun.  Mais avant, il faut affronter le Soudan pour son premier match comptant pour les tours préliminaires de la coupe du monde 2022 qui se tiendra au Qatar.

Tchad : L’économie prend coup après une semaine d’état d’urgence dans trois provinces

Après une semaine de l’instauration de l’état d’urgence dans les provinces du Sila, de Ouaddaï et du Tibesti, le constat sur l’économie est amère. C’est ce qui ressort de la réunion mensuel sur les régies financières le mardi passé sous la houlette du ministre d’Etat, ministre secrétaire général de la Présidence, Kalzeubé Payimi Deubet  à la Présidence de la République. 

Les recettes dans ces provinces frontalières avec le Soudan et la Libye concernées ont été minutieusement examinées.   L’objectif de la réunion étant de faire le point sur les recettes et les dépenses publiques, suivre et évaluer les mesures préconisées pour mobiliser les ressources douanières, fiscales, et s’assurer de leur mise en œuvre.

« Les recettes ont drastiquement baissé selon les estimations de la semaine qui précède l’instauration de l’état d’urgence dans les provinces du Ouaddaï, du Sila et du Tibesti ».

 
Une urgence s’impose devant cette situation. Il revient au gouvernement, de panser certaines des mesures  tant décrié par quelques opinions. Mais le gouvernement énonce une excuse. « Les performances des régies varient d’une province à une autre. Les impôts cette semaine, ils ont fait une bonne performance, tandis que la douane, déjà la semaine dernière, a amorcé un déclin, parce que généralement, cette période est une période morte. Les importateurs n’importent pas beaucoup », justifie le secrétaire d’Etat aux Finances et au Budget, Ahmed Alkhoudar Ali Fadel. « La frontière entre le Bénin et le Niger est fermée, ça aussi ça peut impacter les importations. Donc, les recettes à la douane cette semaine ne sont pas bonnes », a ajouté le secrétaire.


Il a été relevé aussi qu’au niveau des domaines également, il y a une mauvaise performance. Mais, les recettes administratives au niveau des provinces se maintiennent à un rythme acceptable  


De nouvelles solutions visant à contrôler les recettes et éviter leur déperdition ont été envisagées entre les opérateurs économiques dans ces provinces voient leurs chiffres d’affaires drastiquement en abaisse ce qui impacterait négativement aussi les recettes si rien n’est fait.

Média : Les directeurs des organes de presse demandent, que les organes de presse soient placés sous un régime fiscal plus favorable

Après trois jours de formation des directeurs des entreprises de presse et les responsables financiers, sur la viabilité économique des entreprises de presse au Tchad, les participants ont formulé quelques recommandations à l’endroit de l’a Haute autorité des média et de l’audiovisuelle (HAMA), tenue du 27 au 29 août 2019 à la  Société internationale de Linguistique (SIL) de N’Djaména,

La formation vise à outiller les responsables des média privés et publics à améliorer leur viabilité économique le management de leur équipe au sein des entreprise de presse.

Les participants recommandent à la Haute Autorité des Média et de l’Audiovisuel (HAMA) de mener des actions pour la ratification de la Convention de Florence afin de réduire les coûts d’impressions des journaux ; faire en sorte que l’aide indirecte s’étende à l’exonération des taxes fiscales des produits entrant dans l’industrie de la presse ; placer les organes de presse sous un régime fiscal plus favorable comme l’IGL ; faire un plaidoyer auprès des ministères et aux autres institutions gouvernementales pour l’abonnement systématique des journaux nationaux afin de stimuler les entreprises de presse dans leur mission d’encrage de la démocratie et de la construction d’un Etat de droit ; convaincre les entreprises et compagnies étrangères et nationales à mettre leur budget destiné à la publicité au profit des média nationaux par des insertions et autres annonces publicitaires ; assurer la régularité de l’aide directe à la presse et en augmenter substantiellement l’enveloppe ; négocier des conditions favorables d’accès de la fibre optique aux journaux en ligne afin d’alléger leurs charges de connexion internet ; assister les radios privées communautaires et associatives en formation continue.

Remerciement

Les participants ne sont arrêtés seulement à la recommandation mais, dans leur adresse, ils ont à la clôture, ont remercié, le chef de l’Etat, Idriss Déby Itno, pour avoir pensé aux médias en cette période difficile en octroyant l’aide directe et indirecte à la presse.

A la Haute Autorité des Médias et de l’Audiovisuel d’avoir initié, organisé et supervisé cette session de formation aux différents responsables des organes de presse publics et privés. Remerciant les formateurs pour leurs riches partages de connaissances et d’expériences, les responsables n’ont pas oublié la Société Internationale de Linguistique (SIL) d’avoir mis à leur disposition ses installations pour l’organisation de la formation.

Deux engagements ont été pris

Ils ont prisl’engagement de poursuivre les efforts nécessaires à la restructuration et à la professionnalisation des organes de presse respectifs tout en entretenant des contacts permanents avec la haute autorité des média et de l’audiovisuelles (HAMA) en vue d’améliorer qualitativement les contenus des productions.

Tchad : Déplacement du ministre de la justice, garde des sceaux, chargé des droits humains à Abéché

L’objectif du déplacement du ministre de la justice, garde de sceaux, chargé de droits humains, Djimet Arabi à Abéché est de faire le suivi de la mise en œuvre de l’état d’urgence instauré dans le Ouaddaï.

Dans son intervention, le ministre de la justice, garde des sceaux, chargé des droits humains, Djimet Arabi a signifié que son déplacement à Abéché est de donner des orientations aux magistrats pour l’application stricte de l’état d’urgence mise en place. « La justice est un moyen pour le renforcement de la paix sociale », a-t-il souligné.

Le gouverneur de la province du Ouaddaï entend travailler en collaboration avec le corps judiciaire. Il a soulevé quelques difficultés qui freinent le travail de l’appareil judiciaire c’est-à-dire le manque de moyen roulant et la position de la maison d’arrêt située au centre de la ville d’Abéché. Le gouverneur a émis des propositions pour règlementer le transport des détenus et ceux récalcitrants.

Tchad : Conseil ordinaire des ministres

Un conseil ordinaire des ministres s’est tenu ce matin, jeudi 29 août à la présidence de la République du Tchad.

A l’ordre de ce conseil, 7 projets de décret ont examiné. Les 3 premiers projets de décret ont été soumis au conseil pour examen par le ministère du commerce, de l’industrie et de la promotion du secteur privé porte approbation des conventions entre le gouvernement de la République du Tchad et 3 sociétés spécialisées dans la construction et l’exploitation des centrales solaires photovoltaïques. Il s’agit de la société Cadrant International Tchad, Djarmaya SEDEN Energie et Inovon Tchad SAS.

Dans un débat de fond et de forme, le président Déby a rappelé au conseil de tenir désormais compte du cadre de relation contractuel de l’Etat et notamment dans les conventions assignées en prévoyant prioritairement le recours à l’arbitrage institutionnel de la cour commune de justice d’arbitrage comme mode de règlement alternatif à la résolution amiable des éventuels conflits avec l’autorisation expresse de la hiérarchie.

Ainsi, les 3 projets de décret sont renvoyés pour être en conformité avec les dispositions du traité de l’OHADA.

Le ministère de l’aménagement du territoire, du développement, de l’habitat et de l’urbanisme a aussi soumis au conseil 4 projets de décret dont le 1er projet porte sur la détermination des modalités d’organisation et de fonctionnement du fond de promotion de l’habitat destiné à assurer le financement et la promotion des différentes opérations de l’habitat social. Le 2ème projet détermine les modalités d’organisation et de fonctionnement du fond des garantis des prêts, le 3ème projet est un décret portant organisation et fonctionnement du fond de bonification des intérêts et le 4ème est un projet de décret portant détermination des tranches des revenus faibles et intermédiaires.

Ces quatre projets avec un impact social important sont aussi renvoyés pour une meilleure relecture qui doit prendre en compte toutes les couches sociales du pays.

Présidentielle en Tunisie : pour la première fois, les candidats s’affronteront dans des débats télévisés

Trois débats télévisés incluant les 30 candidats à l’élection présidentielle du 15 septembre prochain seront organisés. Ils seront retransmis en direct sur la chaîne de télévision nationale.

Ces débats sont organisés par la chaîne de télévision nationale Wataniya, la haute autorité de l’audiovisuel (Haica), et la commission électorale tunisienne (Isie), avec l’appui d’une ONG dont le but est de promouvoir la démocratie, Munathara.

« On essaie de permettre aux électeurs de se faire par eux-mêmes une image plus précise de chaque candidat », a déclaré Lassaad Dahech, PDG de Wataniya. Les trois débats d’une durée de 2h30 chacun, auront lieu les trois derniers jours de la campagne, le 11, 12 et 13 septembre.

Diffusion en direct

Ils donneront à chacun un temps de parole équivalent et seront diffusés en direct sur Wataniya et plusieurs chaînes locales. « C’est la première fois qu’on organise un débat politique [entre les candidats] pendant les élections en Tunisie », a souligné Nouri Lajmi, président de la Haica.

En 2014, lors de la première présidentielle de l’après-Révolution, certains candidats avaient débattu individuellement avec des électeurs. « L’organisation des débats vise à renforcer la démocratie en Tunisie », a indiqué Belabbed Benkerida, fondateur de l’ONG Munathara.

Lors de ce deuxième scrutin démocratique au suffrage universel, 26 candidats s’affronteront. L’une des principales têtes d’affiche, Nabil Karoui, est en prison.

JA

Une présentatrice américaine s’excuse après avoir comparé son collègue noir à un gorille

Sur une chaîne télé de l’Oklahoma, une journaliste a fait une remarque raciste lors d’une séquence sur un zoo local.

Sur KOCO-TV dans l’Oklahoma, Jason Hackett et Alex Housden présentent les informations du matin en binôme. Le ton de l’émission est souvent léger, à l’image d’un reportage diffusé le 22 août sur Fin, un jeune gorille du zoo d’Oklahoma City qui s’est filmé avec une caméra.

Alors qu’un extrait du gorille filmé en gros plan apparaît à l’antenne, les deux journalistes commentent les images :

– Comme vous pouvez le voir, Fin est fasciné.

– Il était vraiment prêt pour les gros plans.

– Il ressemble un peu à toi quand tu prends une photo.

– Oui, c’est vrai, ouais, très proche de la caméra.

Ce qui est gênant dans cet échange, c’est qu’Alex Housden, qui est blanche, fait un rapprochement entre son collègue afro-américain et un singe, une comparaison souvent utilisée comme insulte raciste, que ce soit contre Michelle Obama, Christiane Taubira ou des joueurs de foot.

«Je sais combien je t’ai blessé»

La chaîne KOCO-TV a reçu de nombreuses plaintes et le lendemain, Alex Housden a présenté ses excuses à l’antenne, en larmes et tapotant régulièrement le bras de son collègue.

Hier, j’ai dit quelque chose de choquant, de déplacé, quelque chose qui a blessé les gens. Je sais à quel point je vous ai blessés, et combien je t’ai blessé», a-t-elle déclaré en s’adressant à son confrère. Elle lui a ensuite dit qu’elle l’aimait et qu’il avait été son «meilleur ami pendant les dix-huit derniers mois».

Après l’avoir écoutée, visiblement gêné, Jason Hackett a répondu qu’il acceptait ses excuses et confirmé qu’ils étaient des amis proches hors antenne.

Le journaliste a aussi souligné que l’ignorance n’était pas une excuse : «Nous devons comprendre les stéréotypes. Nous devons comprendre d’où nous venons les uns les autres et les mots qui peuvent blesser, les mots qui font du mal. Nous devons trouver un moyen de remplacer ces mots par de l’amour et des expressions de soutien.»

Slate fr