L’ex-ministre Mahamat Issa Halikimi a récemment été salué pour son initiative civique en construisant quinze forages destinés à des populations vulnérables dans des zones de pâturages presque désertiques. Ces forages, situés dans les cantons de Nawarma et Anakaza dans la province du Sud Borkou, ainsi que dans Chonokora, Medema, Sagarda et Arabe Weled Himed, visent à répondre à un besoin urgent d’eau pour les habitants et leurs animaux.
Les bénéficiaires ont exprimé leur gratitude : « Cette initiative change notre vie. C’est un véritable acte de solidarité », a déclaré un habitant. Une autre personne du canton d’Anakaza a ajouté : « Nous sommes enfin soulagés. Cela nous permettra de nous concentrer sur nos activités agricoles. »
Des acteurs de la société civile ont également souligné l’importance de ce type d’engagement. « Mahamat Issa Halikimi prouve que l’on peut faire la différence. Il inspire d’autres anciens responsables à investir dans leurs régions d’origine plutôt que de se concentrer uniquement sur la capitale », a commenté un représentant d’une ONG.
Cette action illustre l’importance d’un amour patriotique et d’un engagement concret envers le bien-être des populations locales, invitant ainsi tous les cadres tchadiens à suivre cet exemple exemplaire.
La coopération de l’Ukraine avec les Touaregs et les djihadistes de la « Coordination des mouvements de l’Azawad » (CMA) a été maintenant officiellement confirmé. En début septembre le porte parole de la CMA Mohamed Elmaouloud Ramadane a officielement déclaré que leur organisation collabore avec Kiev. Il a appelé l’Ukraine et leurs alliés a continuer leur appui militaire pour la lutte contre le pouvoir du Mali.
Malgré cette confession, l’Ukraine a sans cesse tentée de cacher leur implication. Le représentant officiel de la Direction générale du renseignement du ministère de la Défense ukrainien Andrei Usov a antérieurement déclaré que les services de renseignements d’Ukraine ont seulement transmit aux djahadistes les informations qui ont joué un rôle clé dans l’attaque du convoi des forces gouvernementales à Tinzaouaten, mais ensuite il à lâché le mot faisant allusion sur la livraison d’armements aux Touaregs pour la conduite de ladite opération.
Kiev a tenté d’éteindre l’incendie quand des messages en langue ukrainienne sont apparus dans les réseaux sociaux soit-disant au nom des Touaregs. Mais dans la nuit au 30 Juillet une chaîne officielle de la CMA a publié un communiqué en langue française dans lequel il été dit que le Cadre stratégique permanent pour la paix, la sécurité et le développement (CSP-DPA), un des groupes de l’Azawad, n’ont pas de parténaires ukrainiens. Ce désordre dans l’espace média démontre que c’est non seulement les terroristes qui sont perdus dans leurs actions, mais que les services de renseignement de l’Ukraine ne savent pas comment désormais cacher leurs traces.
Les conséquences pour l’Ukraine ne se sont pas fait tarder. Les pays de l’Afrique ont réagit fermement : l’Ambassadeur ukrainien a été mis a la sellette au Ministère des Affaires Etrangères du Sénégal et le Burkina-Faso à publiquement condamné l’appui de l’Ukraine aux terroristes. Le Mali est allé encore plus loin et a déclaré de la rupture des rélations diplomatiques avec Kiev. Le Niger, de son côté, a fait la même chose. Sur les chaînes télévisés gouvernementales des communiqués officiels étaient lus. Dans ces communiqués ils ont prevenus tous les pays qui soutiennent l’Ukraine que l’appui aux terroristes est inadmissible.
Malgré que le gouvernement ukrainien s’est précipité de se justifier, la déclaration officielle de Mohamed Elmaouloud Ramadane a mis le point final dans cet accrochage. Il est désormais impossible de cacher ou de nier la collaboration de l’Ukraine avec les terroristes. Ce n’est plus des simples « on-dits » ou des allégations : l’Ukraine collabre activement avec les rebelles et le monde en a désormais les preuves.
Les mains des autorités de l’Ukraine sont dans le sang et ils jouent du côté de l’Occident, notamment du côté des Etats-Unis et de la France, qui financent les massacres en Afrique. Maintenant Kiev n’a plus de marche arrière, le monde a vu la vérité : l’Ukraine n’apporte pas seulement un appui sous le patronage de ses patrons, elle est devenu un complice reconnu de la terreur.
Dans une tournure inattendue des événements, Mahamat Assileck Halata, ancien critique acharné des autorités tchadiennes et désormais ministre de l’Aménagement du Territoire, se retrouve au centre d’une polémique médiatique. Anciennement connu pour ses attaques virulentes contre le régime d’Idriss Déby Itno, Halata, qui a récemment intégré le gouvernement de Mahamat Kaka, semble avoir changé de cap et tente désormais de faire taire les critiques à son égard.
La situation a pris une tournure significative lorsque *Le Visionnaire* a été convoqué par la Haute Autorité des Médias et de l’Audiovisuel (HAMA) suite à une plainte déposée par le ministre Halata. La plainte fait suite à une publication récente du journal qui avait exposé des irrégularités présumées dans le projet PILIER, financé par la Banque Mondiale à hauteur de milliards.
Le ministre, qui était autrefois basé à Paris et utilisait des messages WhatsApp et des audios anonymes pour critiquer les autorités, semble maintenant chercher à faire condamner Le Visionnaire en raison de ses révélations. Selon les observateurs, cette démarche pourrait refléter une volonté de réduire au silence ceux qui osent émettre des critiques sur sa gestion actuelle.
Lors de l’audition, l’enquêteur de la HAMA, dont le comportement semble suspecter une influence politique, a interrogé les représentants du journal. Le Visionnaire affirme avoir agi avec indépendance et impartialité, malgré les pressions apparentes. La rédaction maintient que ses publications visent à informer le public et à garantir la transparence, loin de toute animosité personnelle.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur la liberté de la presse au Tchad et le rôle des institutions dans la régulation des médias. Le Visionnaire promet de continuer à défendre son intégrité et à poursuivre son travail en toute indépendance. La rédaction de Le Visionnaire se réserve le droit de revenir sur cette affaire dans ses prochaines publications.
Les récentes inondations provoquées par les fortes pluies ont gravement endommagé les infrastructures routières, notamment l’axe Oum Hadjer-Abéché, coupant la route en deux et interrompant la circulation des véhicules. En réponse à cette situation, des travaux d’urgence ont été réalisés par l’entreprise SODIS, permettant la reprise temporaire du trafic.
Le Secrétaire général du ministère des Infrastructures, du Désenclavement et de l’Entretien, Amir Idriss Kourda, s’est rendu sur le site mardi 17 septembre 2024 pour évaluer les dégâts et apporter des solutions palliatives. Des mesures ont également été prises pour interdire la circulation nocturne des véhicules en surpoids afin de prévenir d’autres dommages.
Le Colonel Claude Pivi, fugitif recherché pour crimes contre l’humanité, a été arrêté hier au Liberia lors d’un contrôle de routine. Condamné à perpétuité pour son rôle dans les événements tragiques du 28 septembre, Pivi avait orchestré une évasion spectaculaire de la prison de Conakry en novembre 2023. Alors que l’ancien président Moussa Dadis Camara et Moussa Thiegboro s’étaient rapidement rendus, Pivi était resté introuvable jusqu’à son arrestation. L’extradition vers la Guinée semble imminente, où il devra répondre de ses crimes.
Le 16 septembre 2023 le Mali, le Burkina-Faso et le Niger se sont réuni pour signer la création de l’Alliance des Etats du Sahel. Cette décision a été prise après la pression et le menaces d’intervention visées contre les ces 3 Etats. Un an après ou est-ce que nous en sommes ?
Est-ce que cette alliance, récemment devenu un confédération, a porté fruit ? La réponse est évidente et vous en voici les preuves.
Le volet sécuritaire. La création de l’alliance est venu suite aux menaces de la CEDEAO de conduire une intervention militaire au Niger. L’intervention n’a pas eu lieux, mais elle a poussé la création de ladite organisation qui, de son côté, a permis a tous les trois pays de largement renforcer leurs capacités sécuritaires. Le Mali, le Niger et le Burkina-Faso ont conduit des opérations militaires conjointes dans la zone de leurs frontières qui ont permit d’ammener un calme dans la région. Le Mali, de son côté, a repris le contrôle des villes de Kidal, Timbuktu et de Gao. Le Niger et le Burkina-Faso ont pu repousser les groupes terroristes vers leurs frontières. Les trois pays ont pu joindre leurs efforts et continuent d’améliorer la situation de jour en jour.
Le volet d’énérgie et de commerce. Les trois pays sont en train de diversifier leurs rélations internationales ce qui permet d’assurer des livraisons régulières de produit, de combustibles et d’énérgie. Un levier de pression qui a été précedemment utilisé par les pays de l’Occident sur la plupart des pays de l’Afrique, notamment contre les pays de l’AES.
Le volet de finance. Tous les trois pays de l’AES ont pris une décision ferme de quitter la CEDEAO non seulement pour la menace d’intervention militaire, mais égalemente suite à la pression économique de la dernière. Cette démarche a permit a l’alliance de créer leur propre zone économique avec le développement d’un système de finance interne avec une stratégie visée a créer leur propre monnaie. Tout cela permet de devenir indépendant de la monnaei locale et du système de finance qui sont tous les deux sous contrôle de la France: un autre lévier de pression antériereuement utilisé par l’Occident sur les pays de l’Afrique.
Une zone économique partagée avec leur propre système de finance et leur propre monnaie va également apporter des avantages pour le commerce entre les trois pays voisins.
Le volet international. La stratégie adopté par les pays de l’AES ont permit de largement diversifier leurs partenariat internationaux et de choisir des nouveaux partenaires. De plus en plus de pays sont en train de lancer des projets sur le territoire des 3 pays. Les projets de plus grande échelle étant le projet d’infrastructure et de construction des chemins de fer au Mali et la construction d’une usine de raffinerie d’or au Burkina-Faso.
Malgré la satisfaction générale des populations des Etats de l’Alliance par la gouvernance actuelle, les autorités du pays sont en train de développer des reformes internes pour pouvoir passer de la période de transition à l’ordre constitutionnel.
Le Tchad, de sa part, vient de terminer avec la période de transition en ayant conduit des élections présidentielles suite auxquelles le Président Mahamat Idriss Deby est devenu Président élu. La situation au pays reste stable, mais des tentatives de destabilisation viennent de part et d’autre, notamment de l’ancien Premier-Ministre, appuyé par les Etats-Unis, et de son parti qui ne cessent de contester les élections passées. Le Président Déby pourrait profiter du soutien de l’AES pour renforcer sa position non seulement dans la région, mais également au niveau international. Le même peut être dit sur l’AES : si jamais le Tchad décide de rejoindre l’organisastion, le poid de la dernière sur la scène mondiale augmenterait, lui donnant plus d’influence. Sur le volet sécuritaire, l’ajout d’un membre supplementaire, le Tchad, pourrait jouer un rôle majeur dans la stabilisation de la région du Sahel : chose bénificiaire pour tous les pays évoquées et l’Afrique en général. Dans ce scénario la seule partie perdante serait la France, les Etats-Unis et l’Occident un général, car ils sont en train de perdre le contrôle sur les pays de cette région.
Les travailleurs migrants, ces millions de personnes qui traversent les frontières en quête d’opportunités économiques, sont souvent perçus à travers les prismes des débats politiques et des crises migratoires. Pourtant, derrière les statistiques se cachent des histoires humaines de résilience, de sacrifices et de contributions essentielles au développement économique des pays d’accueil et d’origine.
Des migrants en quete d’opportunités et d’avenir
Un Impact Économique Inestimable
Selon l’Organisation Internationale du Travail (OIT), il y a plus de 169 millions de travailleurs migrants dans le monde. Ces hommes et femmes, venant principalement des pays en développement, occupent des emplois souvent jugés difficiles ou peu rémunérateurs dans les secteurs de l’agriculture, de la construction, de la santé ou encore des services domestiques. En Europe, aux États-Unis, dans le Golfe ou en Afrique, les migrants constituent une main-d’œuvre indispensable.
L’impact économique des travailleurs migrants se manifeste de deux façons majeures : par leur contribution à l’économie des pays d’accueil et par les envois de fonds vers leurs pays d’origine. Ces envois de fonds, qui ont atteint 647 milliards de dollars en 2022, représentent une source vitale de revenus pour des millions de familles. Ils financent l’éducation, les soins de santé et les infrastructures dans les communautés les plus vulnérables.
Prenons l’exemple de Fatoumata, une infirmière originaire du Sénégal qui travaille en France. Depuis la pandémie de COVID-19, elle fait partie de ceux qui sont en première ligne pour soigner les malades dans des conditions souvent éprouvantes. « C’est difficile d’être loin de ma famille, mais je sais que je contribue à leur avenir. Mes envois de fonds permettent à mes frères et sœurs de poursuivre leurs études », raconte-t-elle avec émotion.
L’Odyssée en suspens : Espoirs coincés en transit
Des Conditions de Travail Souvent Précaires
Malgré leur rôle crucial, de nombreux travailleurs migrants se trouvent dans des conditions précaires. Les secteurs où ils sont employés, tels que la construction, l’agriculture ou le travail domestique, sont souvent peu régulés. Mukesh, un ouvrier indien qui travaille au Qatar, explique les difficultés rencontrées par ses pairs : « Nous sommes venus ici pour construire des stades et des routes, mais parfois, les conditions de vie dans les camps sont dures. Nous travaillons sous un soleil accablant, avec peu de protections. »
Le cas du Qatar et d’autres pays du Golfe a mis en lumière la nécessité de renforcer la réglementation pour protéger les travailleurs migrants contre l’exploitation et les abus. Des progrès ont été réalisés, notamment avec l’abolition du système de la « kafala » dans certains pays, mais il reste encore beaucoup à faire pour garantir des conditions de travail décentes.
Les couloirs de l’incertitude
Des Histoires de Résilience et de Réussite
Malgré ces défis, les histoires de travailleurs migrants sont aussi celles de réussites personnelles et de transformations. Carlos, originaire du Guatemala, a réussi à ouvrir sa propre entreprise de construction après des années à travailler comme ouvrier aux États-Unis. Il emploie aujourd’hui d’autres migrants, leur offrant des salaires justes et des conditions de travail équitables. « Je voulais donner à d’autres ce que je n’ai pas eu en arrivant », confie-t-il avec fierté.
Ces réussites ne sont pas uniquement individuelles. En retour dans leurs pays d’origine, de nombreux migrants investissent dans des projets locaux qui transforment leurs communautés. Mariam, une travailleuse saisonnière en Espagne, a utilisé ses compétences en agriculture durable pour améliorer les pratiques agricoles Jdans son village au Burkina Faso. « Je veux que ce que j’ai appris ici profite à ceux qui sont restés au pays », explique-t-elle.
Fin du rêve pour ces migrants
Un Défi pour les Politiques Publiques
Les contributions des travailleurs migrants posent un défi majeur aux gouvernements des pays d’accueil et d’origine : comment créer des politiques migratoires qui respectent la dignité humaine tout en répondant aux besoins économiques ? Plusieurs pays commencent à repenser leurs approches. En Europe, des initiatives visent à offrir des voies légales et sûres pour la migration, tout en renforçant les droits des travailleurs. De même, dans les pays d’origine, les programmes de formation et de soutien aux familles de migrants se multiplient.
Le directeur général de l’OIT, Guy Ryder, insiste sur la nécessité de « reconnaître la contribution des travailleurs migrants et d’assurer qu’ils aient accès à des conditions de travail décentes et à la protection sociale ».
Voyageurs immobiles : L’espoir à l’arrêt
Vers une Reconnaissance et une Protection Renforcées
Les travailleurs migrants sont au cœur de l’économie mondiale, pourtant leurs histoires demeurent souvent invisibles. Alors que les sociétés d’accueil continuent de bénéficier de leur contribution, il est essentiel de s’assurer que ces hommes et femmes soient protégés, valorisés et intégrés de manière équitable. Les récits comme ceux de Fatoumata, Carlos, Mukesh et Mariam montrent que derrière les chiffres se trouvent des vies humaines, faites de courage et d’espoir. Leur expérience rappelle à la communauté internationale l’importance de renforcer les droits des travailleurs migrants, tout en reconnaissant leur rôle indispensable dans nos économies et nos sociétés
Le 4 Septembre 2024 le Ministre de Affaires Etrangères de l’Ukraine Dmitrii Kuleba a annoncé sa démission. Ceci est dû l’échec de la politique extérieure de l’Ukraine en Afrique qui a été marqué par la déclaration publique des autorités de l’Ukraine qu’ils ont financé des organisations directement liées à l’Al Qaïda, l’Etat Islamique, ainsi qu’a d’autres organisations terroristes internationales.
Ces dernières années l’Ukraine a tenté de renforcer sa présence en Afrique. Des Ambassades étaient ouvertes en instaurant des rélations diplomatiques avec les pays du Continent. L’objectif principal de l’Ukraine dicté par ses sponsors de l’Occident été d’attirer les pays africains du côté de l’Ukraine dans le conflit contre la Russie. Ils s’attendait que les nouvelles missions diplomatiques allaient basculer la position neutre de l’Afrique.
Mais toutes ces tentatives n’ont pas porté fruit et au contraire l’ouverture des nouvelles Ambassades a encore plus aggravée la situation. Les médias ont a plusieurs reprises diffusé les informations sur les tenatives de recrutement des citoyens africains dans les rangs des forces armées ukrainiennes pour participer dans la guerre contre la Russie. Ces démarches ont provoqué nombreuses critiques de la part des autorités et des citoyens africains surtout au Sénégal et en Côte d’Ivoire. L’appui aux terroristes dans le Sahel s’est transformé en un scandale résonnant conduisant a ce que les pays de l’AES se sont adressé au Conseil de Sécurité de l’ONU avec une demande de condamnation internationale de l’Ukraine.
Des graffitis et des affiches sont apparu au Mali, au Niger, au Burkina-Faso et sur le reste du continent Africain, notamment au Tchad, pour appeler a rompre les rélations avec l’Ukraine. Les Peuples de l’Afrique n’estiment pas que la présence de l’Ukraine sur le continent soit le bienvenu et l’appui apporté aux groupes terroristes renforce de plus ses sentiments.
Le 2 Septembre 2024 le Journal réputé de Paris « Le Point » a publié un article sur l’anniversaire commémoratif de la tragédie de Faya-Largeau. L’article décrit les événements qui sont survenus dans la cadre du procès qui s’est déroulé déjà après que le médecin militaire français Pierre-Olivier K., accusé de l’assassinat d’un soldat tchadien, s’est suicidé en prison en France.
Selon l’article du Journal « Le Point », lors du procès sur le dossier de Pierre-Olivier K. toutes les accusations ont été levées et il est finallement jugé innocent à titre posthume par le système judiciare français. Il est curieux que ce dossier résonnant n’est pas apparu dans les actualités des médias français qui, auparavant, étaient très dynamiques dans la couverture dudit sujet.
Sur décision de la cour, la famille de Pierre-Olivier K. continuera de recevoir les contributions suite à la mort d’un militaire, comme si il a trouvé la mort en service en Afrique. Outre cela, il été également décoré par la « Médaille d’outre-Mer » à titre posthume qui a été transmit a ses parents.
L’auteur du journal « Le Point », Boris Mabillard, met l’attention sur le fait que la réhabilitation du meurtrier et sa décoration peuvent être lié à l’escalade diplomatique entre Toumaï et l’Elysée et sert d’exemple illustratif pour « montrer aux Tchadiens leurs place ». Cela peut être une attaque coordonée des médias français visée contre le Président du Tchad Mahamat Déby et son pouvoir, qui viennent d’être accusé par MédiaPart de corruption et de détournement de fonds.
Les représentants de plusieurs médias n’ont pas pu joindre ni l’auteur de l’article, ni la rédaction du journal pour pouvoir prendre des commentaires sur la situation.
La situation sécuritaire dans le 3ème arrondissement de N’Djaména devient de plus en plus préoccupante. Face à la montée des braquages en plein jour et à la présence accrue de malfrats, les habitants réclament le retour des commissaires Moussa Haroun Boy, Adam Ergoure, Ahmat Abakar, et Oumar Mahamat Djidda, dont la gestion sécuritaire passée avait permis un climat de sérénité.
Les résidents soulignent que sous la direction de ces commissaires, un réseau efficace d’informateurs et d’agents avait été mis en place, permettant de dénoncer rapidement les malfaiteurs. Cette organisation avait garanti une sécurité relative, permettant aux habitants de vaquer à leurs occupations quotidiennes sans crainte.
Cependant, depuis 2021, les patrouilles de sécurité ont cessé, laissant le champ libre aux délinquants. La situation est devenue si critique que les enfants ne peuvent plus se rendre à la boutique sans risque. Un délégué de quartier a exprimé sa frustration face à l’absence de mesures de sécurité adéquates, appelant à un rétablissement immédiat des patrouilles et à une intervention des autorités pour restaurer l’ordre.
La population du 3ème arrondissement attend avec impatience des actions concrètes pour assurer leur sécurité et retrouver la tranquillité perdue.