ANSICE CLORE SON ATELIER SUR LES ENJEUX DE LA CRYPTOGRAPHIE ET DE LA SIGNATURE NUMÉRIQUE

L’agence Nationale de Sécurité Informatique et de Certification Électronique (ANSICE), vient de clôturer ce matin 29 novembre 2018 l’atelier qu’elle a initié depuis le 27 novembre dernier sur les enjeux de la cryptographie et de la signature numérique sous le thème : signature numérique (cachet numérique) au centre culturel al-mouna.

Apres la journée du 27 novembre 2018 sous le thème : » la cryptographie », le deuxième jour de cet atelier de formation est débattu autour du thème « signature/cachet numérique » qui est la certification numérique, la création modification révocation suppression de certificats, public key infrastructure (PKI) et hiérarchie d’autorité de certification et le block Chain. L’importance de tous ces gadgets et technologies de sauvegardes est mise à nu par Dr Bell Bitjoka Georges lors de cet atelier.

L’ANSICE évolue dans le domaine de cybersecurité et la lutte contre la cybercriminalité, la protection des données à caractère personnel, et la sécurité des transactions électronique. Elle affirme sa raison sur l’organisation dudit atelier qui referme ses portes : « Nous avons organisé cet atelier de formation afin d’informer le public des enjeux, des risques et l’importance capitale de la sécurité de nos données numérique ainsi que leurs transactions», a indiqué le directeur de la protection de la vie privée et des libertés dans le cyberespace M. Younouss Hassane Korei, représentant du directeur général de l’ANSICE.

M. Younouss Hassane Korei a saisi l’occasion pour remercier Dr Bell pour sa main forte prêtée.  Pour lui, malgré le temps imparti, cet atelier est une réussite. Car les participants ont su assimiler le maximum d’informations utiles à chaque domaine.

OUVERTURE DE L’ATELIER DE VALIDATION DE LA STRATEGIE NATIONALE DE MECANISATION AGRICOLE AU TCHAD

L’organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Ministère de la production, de l’irrigation et des équipements agricoles ont ouvert ce matin 29 novembre 2018 à l’hôtel Résidence, un atelier de validation de la stratégie nationale de mécanisation agricole. Cet atelier  a pour but d’accompagner la volonté politique d’une expertise technique adéquate à la mécanisation agricole liée aux objectifs de développement durable.

Durant deux jours, les experts se pencheront sur le plan d’action de cet atelier qui indique les étapes menant à la mécanisation agricole qui manquent au Tchad, et surtout comment matérialiser cette mécanisation pour service de levier à l’agriculture tchadienne, qui constitue un maillon de développement durable. Il faut également une matérialisation des investissements dans le secteur agricole afin d’atteindre les objectifs de sécurité alimentaire et de nutrition. Le Tchad a pris l’engagement de les atteindre, ces objectifs dans 12 ans. La FAO apporte une expertise technique en collaboration avec l’expertise nationale. Le représentant de la FAO au Tchad, M. Mohamodou Mansour N’diaye « la mise en œuvre de ce choix stratégique nécessitera une volonté plus affirmée de l’autorité politique » indique-t-il.

Pour la ministre de la production, de l’irrigation et des équipements agricoles , Mme Lydie Beassemda « la mécanisation agricole entraine le développement d’autres secteurs, notamment celui de l’industrie… elle n’est pas simplement une activité isolée, elle interagit avec de nombreux acteurs tels que  les agriculteurs, les prestataires  d’appui, les planificateurs ou responsables politiques ainsi que ceux du secteur privé ».

Il faut noter que le Tchad a entrepris depuis quelques années la stratégie de développement de la mécanisation agricole à travers le lancement de l’opération « labour », des investissements ainsi que la création d’une unité de montage de tracteurs agricoles. Par contre les contraintes ont beaucoup jouées quant à la conduite d’une mécanisation agricole cohérente et accessible au paysan et surtout en faveur de ceux, les plus démunis. L’atelier prendra fin demain 30 novembre 2018 et aboutissera par validation de quelques textes soumis aux experts.

Allaramadji Innocent & Adde Guinanbeye

ÉLECTION MISS N’DJAMENA ÉDITION 2019 : NELOUMNGAYE NATACHA LAURÉATE

Le comité national Miss Tchad, a organisé hier soir 28 novembre 2018 à l’hôtel Radisson Blu, l’élection miss N’Djamena qui a vu la participation des neufs filles au total. C’était en présence des autorités communales et du représentant du ministère du développement touristique, de la culture et de l’artisanat ainsi que celle des partenaires.

Venues des universités, instituts et lycées, ces filles toutes belles, élégantes à la beauté africaine, ont chacune tenue le public et le jury en haleine jusqu’à l’étape finale. Pris part à cette compétition : Nguealbaye Yvette 1,79m sur 55kg, Ngoadengar Solange, Ndigyanouba Benoite Adoum, Marie Djasrangué, Nemadjilem Prudence Olivia, Achta Soudoh Celine, Lonodji Marina Sanembaye, Neloumngaye Natacha et Synthia Teupana Laoukole.

L’élimination de cette compétition est faite en deux étapes : la présentation en tenue traditionnelle, moderne et l’exposé sur le projet devant les membres du jury et le public.

La première étape a permis au jury d’éliminer 4 sur 9 filles. Parmi les 5 filles dont Nguealbaye Yvette, Ndigyanouba Benoite Adoum, Nemadjilem Prudence Olivia, Lonodji Marina Sanembaye et Neloumngaye Natacha ont été jugées dignes de continuer.

A l’issue de cette dernière étape 3 filles sont retenues : Nemadjilem Prudence Olivia 2e dauphine venue du lycée Royal en classe de la terminale. Son thème porte sur le phénomène des enfants de la rue. Ndigyanouba Benoite Adoum 1ère dauphine. Etudiante à la faculté des sciences humaines et sociales à l’université de N’Djamena. Elle a 22 ans et son thème porte sur la dépigmentation de la peau noire. Et la championne Mlle Neloumngaye Natacha âgée de 22 ans et mesure 1,76m sur 60Kg. Etudiante en gestion à l’université Emi Koussi son thème va dans le sens de l’entrepreneuriat féminin « Au Tchad, j’ai remarqué que le nombre des femmes dépasse celui des hommes mais ces femmes sont pour la plupart ménagère, elles n’ont aucune activité ni une source de revenue, elles dépendent des hommes pour chaque besoin. Elles ne pensent pas à créer une activité quelconque, ce qui ne pas rentable pour l’économie de notre pays. Voilà pourquoi, je tiens à aider la femme tchadienne dans ce sens avec ce modeste projet ».

L’idée est que chaque région du Tchad puisse envoyer une fille qui viendra représenter sa région à la compétition Miss Tchad qui aura lieu bientôt. C’est ainsi que Miss N’Djamena est organisée hier pour avoir son élue.

 

Tchad : Ouverture du procès d’un député tchadien pour mariage avec mineure

Le procès relatif à l’affaire ministère public contre le député Azzai Mahamat Hassane poursuivi d’avoir épousé une fille mineure de 14 ans est ouvert, mardi, au palais de justice de N’Djaména.
Au premier jour de l’audience, les débats ont porté sur l’acte de naissance de la jeune mariée fourni par les avocats du député. Selon les mentions de l’acte de naissance établi à Nokou dans la province du Kanem à 500 kilomètres de N’Djaména, la jeune Zouhoura Mahamat Tahir est née le 26 avril 1999.
De ce fait, soulignent les avocats du député, la mariée à bel et bien 19 ans comme l’exige la loi. « Nous avons l’acte de naissance qui atteste la majorité de Zouhoura. Ils ont dit que la fille a 14 ans, mais pourquoi ils n’ont pas mis ces pièces dans le dossier ? Il n’y a pas un autre acte que ce que nous avons. Qu’ils nous prouvent le contraire, auquel cas c’est un faux problème », a justifié Me Tordé Djimadoum, avocat du député Azzai.
Le ministère public, plaignant dans l’affaire, dit le contraire en affirmant que, cet acte de naissance présente plusieurs irrégularités.
Le substitut du procureur de la République, Nédeou Gérard, note que, « Zouhoura est née en en Libye, mais sur l’acte de naissance présenté par les parents, elle est plutôt née à Nokou », insistant, par ailleurs que « Zouhoura, elle-même, a relevé dans sa déposition qu’il n’y a pas conformité dans son acte de naissance ».
Le père de la fille Mahamat Saleh Kelley, complice dans l’affaire et présent à la barre, répond aux questions du juge que, « lorsque sa fille est rentrée de la Libye, elle n’avait aucune pièce. C’est ainsi qu’elle s’est présentée à une sage-femme à l’hôpital de Nokou pour lui établir son acte de naissance. Ensuite la sage-femme l’a envoyée vers la Commune où elle a pu se faire établir le document », rappelle le père de la fille.
Mais pour le substitut du procureur de la République, dans de pareil cas, où l’enfant n’a pas eu d’acte de naissance juste après l’accouchement, il est obligatoire de passer par un jugement supplétif.
Or, regrette le juge, ça n’a pas été le cas pour Zouhoura. C’est avec ces contradictions sur l’acte de naissance que le procès est renvoyé pour une deuxième audience le 7 décembre prochain pour permettre au tribunal de vérifier la régularité de l’acte auprès de la Commune de Nokou.
Apa

ALI BONGO ODIMBA POURRAIT FINALEMENT TERMINER SA CONVALESCENCE AU MAROC

Ali Bongo Ondimba serait finalement transféré au Maroc aujourd’hui 28 novembre 2018 comme l’a annoncé la Première dame Sylvia Bongo Ondimba le mardi dernier. La convalescence du président avait auparavant fait l’objet d’un étrange ballet entre Rabat, Libreville et Riyad, aux frontières des relations personnelles et de la diplomatie.

Ali Bongo Ondimba  va donc connaitre un voyage sanitaire au Maroc, dans un hôpital de Rabat, mercredi 28 novembre en provenance de Riyad, en Arabie saoudite. Son épouse, Sylvia Ondimba a confirmé l’information mardi 27 novembre en fin de journée. C’est depuis le 24 octobre que le patron gabonais est hospitalisé suite d’un accident vasculaire cérébral ayant nécessité une intervention chirurgical et un placement en coma artificiel.

Le président va donc poursuivre au Maroc une convalescence qui est devenue, au fil des temps, l’actualité la plus suivie par les Gabonais. Depuis le 24 octobre, les rumeurs allaient en effet bon train au sujet de l’état de santé du président.

Sylvia Bongo Ondimba et la présidence gabonaise, notamment Brice Laccruche Alihanga, le directeur de cabinet, avaient tout prévu, y compris l’admission du chef de l’État dans une clinique spécialisée du centre-ville. le 21 novembre, rassurée par l’évolution de l’état de santé de son époux, Mme Bongo prévoyait encore un départ dans les prochaines heures ou, au plus tard, dans les prochains jours. Mais les heures ont passé, et Ali Bongo Ondimba ne s’est pas envolé vers la capitale britannique.

Selon nos confrères de Jeune Afrique, les liens d’amitié entre Mohammed VI et ABO, datant de leur enfance, ne sont un secret pour personne. Le président gabonais a passé une partie de son adolescence au Maroc, et les deux hommes se sont régulièrement revus alors que leurs pères, eux aussi amis, présidaient encore aux destinées de leurs pays respectifs.

AHMAT MAHAMAT AHMAT

 

 

 

TCHAD : CELEBRATION DE LA FETE DE LA PROCLAMATION DE LA REPUBLIQUE

28 novembre 1958 – 28 novembre 2018, déjà 60 ans que le Tchad est proclamé République à l’issu d’un référendum. Cette date marque la naissance de la République tchadienne.

L’histoire nous rappel la marche vers l’indépendance du Tchad qui est similaire à celle de plusieurs autres pays de la colonie française d’Afrique. L’accession à une souveraineté administrative relative, en 1956, est suivi par un Oui à la Communauté française lors du référendum tenu le 28 novembre 1958, c’est à cette date que le Tchad fut né. Le Parti progressiste tchadien (PPT) dirigé par Gabriel Lisette, puis  François Tombalbaye, a joué un rôle central dans l’évolution rapide qui est apparue au cours des mois suivants. Une entente sera conclue entre Tombalbaye et le premier ministre français, Michel Debré, en juillet 1960, définissant les modalités de l’accession à l’indépendance qui est proclamée le 11 août 1960. Le Tchad, qui compte à ce moment 2,7 millions d’habitants, sera admis à l’Organisation des Nations unies (ONU) le 20 septembre 1960. L’adoption d’une nouvelle Constitution mènera à la création d’un régime présidentiel et à l’élection de Tombalbaye à la tête du gouvernement.

La fête de cette République proclamée depuis 60 ans, se vit dans un moment de crise sans précédant, mais la croissance démographique bas son plein. De 2,7 millions d’habitants, la population tchadienne est de nos jours plus de 12 millions d’habitants.

ELLE ET SON BÉBÉ DÉCÈDENT APRÈS UN DÉLESTAGE AU BLOC OPÉRATOIRE

Dénémadji, une fille âgée d’environ 19 ans s’apprête à être mère dans les heures qui suivent mais elle voit ce rêve devenir un cauchemar. Elle vit dans l’un des quartiers du 7e arrondissement de la ville de N’Djamena. C’était dans la matinée du 25 novembre dernier que Dénémadji était en travail d’accouchement où, elle serait ensuite amenée dans un centre de santé pour la circonstance. Après un bon moment passé, le médecin a recommandé aux compagnons de cette pauvre dame de la transférer dans un hôpital pour subir la césarienne.

Rapidement après cette demande, Dénémadji était transférée dans l’un des grands hôpitaux privés de la ville où elle a mis 08 heures du temps à attendre parce qu’elle était aussi la 8e et la dernière personne à arriver. Marchant par si et par là, poussant de cri et hurlement, un bras au dos et sur la tête, la petite mère avait du mal à supporter la douleur. Enfin, à 14 heures et quelques minutes, Dénémadji est transférée au bloc opératoire où elle donnera naissance à son tout premier enfant.

Les anesthésistes ont commencé le travail, ils progressaient d’ailleurs bien. Au bout de quelques temps, hélas la coupure d’électricité surgie dans cet hôpital. Aux environs de 02 minutes, le groupe électrogène est démarré. Un silence total dans le bloc. Après cela, c’est le médecin qui sort pour annoncer la triste nouvelle « Nous sommes vraiment désolés, votre filles et son bébé ont rendu l’âme » aux parents et au mari de Dénémadji qui est venu voir et écouter le premier cri de son enfant et le prendre aux bras.

Des pleurs et des cris ont permis d’accompagner la dépouille de Dénémadji et son bébé à la morgue. Ce décès a créé de polémique. Tantôt, que c’est parce que les parents ne sont pas d’accord de l’union de ces jeunes que la fille et son bébé sont morts tantôt ce sont eux-mêmes les parents de Dénémadji qui accuse Jean Pierre mari de Dénémadji d’avoir tué leur fille en s’entêtant pour se marier à elle. Les parents ont refusé à ce que la fille soit inhumée au profit du respect de la coutume.

Le mari de Dénémadji envisage une poursuite judiciaire mais contre qui ? L’hôpital ou ces beaux parents qui malgré tout, lui ont tenu des propos haineux sur le décès de sa femme et son enfant ? Doit-il juste laisser cette affaire dans les mains de Dieu ? Il est confus, angoissé et perturbé psychologiquement.

Paix aux âmes de Dénémadji et de son bébé !

 

TCHAD : LE FESTIVAL « DAAR » DU 22 DECEMBRE 2018 AU 02 JANVIER 2019

Le Ministère de Développement Touristique, de la Culture et de l’Artisanat et l’Office National de Promotion du Tourisme, de l’Artisanat des Arts (ONPTA), ont organisé un point de presse ce matin dans un hôtel de la place. C’est en prélude du festival « DAAR », notre pays, nos merveilles qui aura lieu du 22 Décembre 2018 au 02 janvier 2019 à la place de la nation à N’djamena.
Le festival « DAAR » est un espace de rencontre festive d’expression culturelle et artistique. Il a pour objectif de valoriser le potentiel culturel et artistique national dans toute sa grandeur et sera placé sous le haut patronage de son excellence Idriss Deby Itno souligne le ministre, Madeleine Aligngué.
A ce festival, les portes du village seront ouvertes aux visiteurs tous les jours de 10 heures à 23 heures, heure locale. Les participants à cette rencontre seront les représentants culturels et artistiques des 23 provinces du Tchad, les opérateurs économiques, les professionnels du métier de tourisme, les partenaires au développement, les communautés étrangères vivant au Tchad et le grand public.
Au menu des activités, un défilé traditionnel, des stands, exposition de vente, de la gastronomie des terroirs et du monde, des animations culturelles telles que : concerts, théâtre, danses, humour, concours, arbre de Noël, tombola…et des jeux et loisirs pour enfants et adultes.
Plus de 5 000 visiteurs sont attendus par jour, 23 stands représentants chaque province, 100 stands entreprises, 10 restaurants, 200 artisans et commerçants, 150 artistes nationaux, 250 associations culturelles et artistiques y prendront part, 100 journalistes et 25 médias nationaux et internationaux sont attendus.
En cette période des fêtes de fin d’année, ce festival est une belle occasion de communion autour de nos richesses culturelles et artistiques, conclu le ministre.

TCHAD : OUVERTURE DE L’ATELIER SUR LES ENJEUX DE LA CRYPTOGRAPHIE ET DE LA SIGNATURE NUMÉRIQUE PAR ANSICE

L’Agence Nationale de Sécurité Informatique et de Certification Électronique (ANSICE) a organisé un atelier sur les enjeux de la cryptographie et de la signature numérique sous le thème : la cryptologie et le cachet électronique ce matin 27 novembre 2018 au centre culturel Al mouna. Cet atelier qui commence aujourd’hui est pour deux jours, le 27 et 29 novembre 2018.

Malgré, les difficultés que rencontre le Tchad dans le domaine technologique et de la connexion internet, la sécurisation des données liées à l’informatique nécessite la protection d’où l’importance de cet atelier.

Cet atelier a vu la participation des plusieurs personnes qui ont reçu au préalable quelques mots du directeur général de l’ANSICE sur l’importance de ces assises : « les thèmes de ces deux journées permettront de vous donner un éclairage et vous sensibiliser sur les enjeux Technologiques de la Cybersécurité ; cybercriminalités. Dans cette digitalisation en croissance des services face aux risques majeurs pouvant entamer notre économie, notre santé, nos infrastructures d’importances vitales et notre sécurité ». A déclaré le directeur général de l’ANSICE, M. Mahamat AWARE Neissa.

L’ANSICE qui a entamé depuis juillet ses activités s’attèle aux textes, procédures, et bientôt des solutions dédiés métiers de cybersécurité pour prémunir les usagers de toute hostilité. « La sécurité de l’envoi des messages et des fichiers est d’une importance capitale non seulement pour les entreprises, mais aussi pour les particuliers, comme en témoigne les pertes financières colossales dans le monde due aussi bien au piratage des sites internet des sociétés qu’aux usurpations d’identités, et l’unique moyen de s’en prévenir est de protéger ses propres données par la cryptographie. Certifier les documents et services de l’État par des cachets numériques codes QR avec l’aide de cachet électroniques fiables seront nos chantiers futurs» poursuit M. Mahamat AWARE Neissa.

Pour Dr Bell Bitjoka Georges : « la cryptologie, étymologiquement est une science du secret. Implémentée dans beaucoup de domaines, dans la sécurisation du système d’information, la sécurisation des systèmes du paiement électronique, sécurisation des canaux de transmission des informations, la signature numérique etc. C’est une science qui répond de la plupart des éléments garantissant la sécurité du système d’information ».

Selon Dr Bell Bitjoka, l’idée est de permettre d’ouvrir et présenter aux différents experts du domaine du numérique et de la sécurité les enjeux et l’importance de la cryptographie et de la signature numérique pour la société Tchadienne. Ces enjeux par exemples, rendre les documents infalsifiables par la signature numérique, assurer la non répudiation des transactions numériques. C’est-à-dire empêcher quelqu’un qui refuse de reconnaitre l’acte numérique qu’il a posé en lui montrant les preuves.

La cryptographie est un système à multiples service. Car elle permet aussi de sécuriser les canaux de transmission pour les services militaires, la sécurité nationale et permet de faire les investigations pour le système d’information. 

ANNE YANKIM

 

 

HEC TCHAD : UN AMPHITHEATRE « CHINE » DE 120 PLACES INAUGURE

Il s’est tenu ce 27 novembre à L’université HEC –Tchad haute étude économique et comptable commerciale et communication du Tchad une cérémonie officielle de l’inauguration d’un amphithéâtre dénommé CHINE. La coupure du ruban a été faite par le ministre de l’enseignement supérieur en compagnie de l’ambassadeur chinois au Tchad.
L’amitié Tchad-Chine n’est pas seulement interétatique, elle s’étant également dans les institutions d’enseignements privés. Le baptême d’un amphithéâtre de l’université HEC Tchad en amphichine est la preuve de cette amabilité. Cet événement plein de signification augure pour les deux peuples un avenir plus radieux rassure LI JINJIN ambassadeur de la chine au TCHAD
Pour le promoteur de l’université HEC TCHAD, Dr Ali Abdelraman Haggar par ailleurs président du comité de pilotage la jeunesse tchadienne est dynamique et ne demande que de croire en elle.
Le changement d’un pays passe par la recherche de l’excellence et de la qualité dans le travail. Une logique que les institutions d’enseignements supérieurs doivent s’approprier souligne Dr Houdengar David ministre de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation.
Une cérémonie marquée par la visite de l’amphithéâtre chine qui a une capacité d’accueil de 120 place. Par cet acte l’université HEC TCHAD ouvre un boulevard à la jeunesse tchadienne et chinoise de se connaitre davantage par le biais de l’éducation.