Il s’agit d’un gros porteur contenant des marchandises faisant la descente à sa sortie du pont. Selon les sources sur place, le chauffeur aurait perdu le contrôle et fait un tonneau. L’incendient a eu lieu ce soir 30 Avril 2019.
Il s’agit d’un gros porteur contenant des marchandises faisant la descente à sa sortie du pont. Selon les sources sur place, le chauffeur aurait perdu le contrôle et fait un tonneau. L’incendient a eu lieu ce soir 30 Avril 2019.
Sur nos marchés et un peu partout on y trouve les dattes. Sa préférence diffère d’un ménager à un autre. Mais sa consommation est très recommandée pour la santé de l’homme.
La consommation de ces fruits « dattes » contribue efficacement à la bonne santé de l’homme. Nous devrions en consommer plus souvent car ces fruits sont très riches en vitamines, en fibres et en antioxydants, ce que conseil les nutritionnistes. Sa consommation peut réduire certains risques liés aux troubles digestifs, maladies cardiovasculaires, douleurs de l’accouchement…
Selon le nutritionniste M. Mahamat Almahadi, la datte est excellente pour la santé car elle est riche en fructose, dextrose, saccharose, maltose. Des glucides qui sont des vraies sources d’énergie pour l’organisme. Ces glucides permettent aussi de lutter efficacement contre l’hypertension artérielle. Par ailleurs, il précise qu’elle est pauvre en graisse.
« Les dattes permettent de favoriser une bonne digestion et combattent les constipations passagères » a-t-il confirmé. Mahamat Almahadi poursuit que les aliments riches en fibres permettent aussi de conserver les intestins en bonne santé.
Pour le nutritionniste Almahadi, la datte est également une source d’oligo-éléments. Elle contient en effet du cuivre, du zinc ou encore du fer. « On recommandera donc aux personnes qui souffrent d’anémie de ne pas hésiter à en consommer. Dans 100 grammes de datte, on trouve 0,90 g de fer, soit l’équivalent de 11 % de l’apport quotidien recommandé », a-t-il soutenu.
Cependant le nutritionniste de dire que la date contient aussi des acides aminés comme l’alanine, l’arginine, la glycine, la serine, ou la valine. Ces acides aminés peuvent réduire la pression artérielle ou les douleurs liées aux articulations. Ils peuvent aussi contribuer à l’augmentation de la masse musculaire.
En effet, il est conseillé aussi de consommer régulièrement la datte, car la datte peut lutter contre l’accumulation de graisses dans l’organisme, notamment au niveau des artères, le vieillissement des cellules.
La vitamine B6 que l’on retrouve dans la datte améliorer les performances du cerveau et la vitamine E retarde ou prévient les maladies coronariennes. Les protéines quant à elles, participent à la formation des muscles et des os et par ailleurs peuvent brûler les graisses, de réguler l’appétit. Grâce à tous ces nutriments, la datte est un excellent fruit qui combat aussi la fatigue et renforce le système immunitaire.
Bon à savoir !
« La datte réduit les douleurs de l’accouchement ». C’est ce que révèle une étude menée par une équipe de chercheurs de l’Université de Jordanie. Selon ces travaux, une alimentation riche en dattes permettrait également de réduire les saignements et de mieux gérer l’après-accouchement.
Ahmat Mahamat Ahmat
Le Ministre de la Fonction Publique, du Travail et du Dialogue Social, Monsieur Ali Mbodou Mbodoumi a fait une déclaration ce mardi 30 avril 2019 dans son cabinet.
Le Tchad a l’instar des autres pays du monde, commémore le 1er mai, fête du travail sur toute l’étendue du territoire. Cette journée est un moment privilégié pour les travailleurs et pour le Gouvernement de se trouver, afin d’examiner ensemble, les progrès réalisés et les préoccupations nouvelles inhérentes au monde du travail.
Pour le Ministre de la Fonction Publique, Ali Mbodou Mbodoumi ce 1er mai, marque la célébration de l’engagement et du courage de toutes celles et de tous ceux qui œuvrent sans relâche au progrès du pays.
Ali Mbodou Mbodoumi a souligné également que cette fête intervient dans un contexte marqué par un fait mémorable « La signature du Protocole d’Accord du 26 octobre 2018 entre le Gouvernement et la Plateforme Syndicale Revendicative, suite à l’ultime intervention directe du Chef de l’Etat pour aplanir les incompréhensions et permettre la reprise totale du travail après une longue grève qui a durement éprouvé nos populations »
L’année 2018/2019 a été marquée par : la mise en place du Comité National du Dialogue Social, de l’Audit des Diplômes des agents civils de l’Etat, du Comité Paritaire chargé de l’assainissement du fichier de la Solde et du Suivi de l’Audit des Diplômes Civils de l’Etat, du Comité de Pilotage et de Supervision de l’Audit des Diplômes, et du Comité Technique Interministériel d’Appui au Cabinet dudit Audit.
Rappelons que le 1er mai est célébré chaque année en mémoire des travailleurs de l’industrie de Chicago (aux Etats Unis), qui, en 1886, une manifestation qui a fait trois morts parmi les grévistes de la société McCormick Harvester. Ces travailleurs avaient exigé l’amélioration de leurs conditions de travail. Jusqu’aujourd’hui la lutte continue dans les secteurs.
Ce matin devant l’Université, les étudiants se manifestent pour dire « Non à 50 000FCFA » imposé par le rectorat.
« Nous demandons qu’il faut abandonner le frais d’inscription de 50 000FCFA du 2017 à nos jours » explique un étudiant.
Selon ces étudiants, le rectorat a demandé aux étudiants de payer une somme de 50 000FCFA comme frais d’inscription de la première année à la troisième année allant du 2017 à nos jours.
Du 24 au 26 avril dernier, l’Ong Oxfam Intermon a remis officiellement les clefs de trois mini-adductions d’eau à poste autonome à base des panneaux solaires dans le département de Malgalmé. La cérémonie d’inauguration a été présidée respectivement par les sous-préfets (d’Eref, Mangalmé rurale, et de Kouka) des circonscriptions dont relèvent les villages bénéficiaires à savoir Saraf-Ousba, Mouraye et Chédidé.
Trois châteaux sont implantés dans les cantons Moubi Zarga, Moubi Goz et Dadjo II, dans le département de Mangalmé, province du Guéra. Ces trois ouvrages d’un montant de 21 519 050 Fcfa chacun ont été réalisé sur fonds propre de cette Ong avec l’appui de ses partenaires : Union Européenne et Asradd. Dans le cadre de son projet « Résilience et adaptation aux vulnérabilités climatiques pour une sécurité alimentaire et nutritionnelle durable au Tchad dans les provinces du Guéra, Ouaddaï et Wadi-Fira ». Oxfam abrège la souffrance de ces habitants qui, par le passé buvaient l’eau de mauvaise qualité, comme en témoigne le chef du village, Brahim Djibrine. Selon lui, avant la réalisation de cet ouvrage, ses administrés et lui se disputaient l’eau des pluies ou s’abreuvaient de l’eau des puits traditionnels ouverts.
« Avant, nos enfants rentraient à la maison avant la fin de l’heure à cause de la soif, maintenant ils étanchent leur soif avec joie et finissent les heures des cours», s’est exclamée Hawa Issa, parente d’élève. Le château est implanté juste à 50 mètres de l’école.

« Vous avez une mini-adduction d’eau dans votre village grâce à vos partenaires privilégiés à savoir Oxfam et Asradd. Depuis 2010, l’Ong Oxfam continue d’œuvrer pour le bien-être de la communauté du département de Mangalmé en général. Avec ce mini-château, la communauté de Saraf-Ousba est épargnée des maladies hydriques », s’est réjoui le sous-préfet de Kouka, Idriss Yaya Brahim avant d’ajouter que les villages bénéficiaires de ces points d’eau ont changé de physionomie et de comportement et qu’ils aspirent à une bonne santé et au bien-être.
Dès son implantation, Oxfam a commencé à sensibiliser la population à l’hygiène, à l’assainissement et en réhabilitant des pompes à motricité humaine, à en construire des nouvelles et des puits ouverts. Rien que dans le département de Mangalmé, cette Ong humanitaire a pu construire 13 forages à motricité humaine, 3 mini-addictions d’eau, plus de 30 points d’eau réhabilités et 8 puits modernes construits. « Il est très bon que le village Saraf-Ousba ait ce château, car le village est devenu immense et cela va soulager la communauté en matière d’accès à l’eau potable », a renchéri Ali Aminami, représentant le délégué provincial du ministère de l’eau.
Ledit village compte 4567 habitants. Le représentant du chef de base Oxfam Mangalmé, Jacques Maboundou, a exhorté pour sa part, la population bénéficiaire de bien prendre soin de cet ouvrage.
Boudina David
La crise cardiaque est une des causes de la mortalité dans le monde. Plusieurs personnes qui souffrent de cette maladie ne sont pas souvent informées sur comment se prendre de cette situation. Cependant, les cardiologues conseillent ceci :
3 Tout à coup, vous commencez à éprouver une douleur dans la poitrine qui commence à s’irradier dans votre bras et votre mâchoire vers le haut et dans le coeur . Vous êtes à seulement cinq kilomètres de l’hôpital le plus proche de votre maison.
S’informer sur toute sorte de maladie et surtout comment se sauver et sauver d’autres personnes pourrait réduire de nombreux risques liés aux aux de mortalité dans le monde.
Kaldor/Wathsapp.
S&N Consulting agence de communication agis au nom de Techno Mobil met son SPARK3 sur le marché.
Après ses différentes marques de produits, Techno Mobile veut proposer un téléphone qui répond aux besoins des consommateurs locaux. La SPARK3 est un nouveau produit avec une intelligence artificielle, double camera permet d’avoir des images en haute qualité et en temps réel. La SPARK3 a une garantie de 13 mois, rassure le manager Abbas Yonyone Nana, ajoutant que cette marque proposée permet d’économiser plus les data et une performance de 5000 mA de batterie qui peut aller de deux à trois jours.
« Kebzabo déçu », titre L’Observateur à sa Une. La Cours Suprême a tranché net ! S’exclame-t-il. Monsieur Saleh Kebzabo n’est plus chef de file de l’opposition tchadienne, conformément à l’articule 7 de l’ordonnance 040/PR/2018 du 30 août 2018 relatif aux conditions de désignation du chef de l’opposition démocratique. Désormais, c’est le député Félix, président de l’URD qui devient ipso facto, le chef de file de l’opposition tchadienne.
Saleh Kebzabo, destitué de son statut de chef de l’opposition. Le leader de l’Union nationale pour le développement et le renouveau (UNDR) cri au complot. Ecrit L’hebdomadaire La Voix. « La chute du baobab », poursuit-il. Les vents défavorables s’amoncèlent autour de l’ex leader de l’opposition. Croc-en-jambe et uppercuts pleuvent tous azimuts. Mais Saleh Kebzabo n’entend pas lâcher du lest.
« Saleh Kebzabo est-il victime d’une machination ? » S’interroge le trimensuel Abba Garde. Beaucoup d’observateur, à la lecture de la décision de la Cour Suprême, pensent que Kebzabo a raison. En effet, la décision de la Chambre Constitutionnelle de cette Cour fait suite à « une requête en interprétation de l’article 7 de l’ordonnance n° 040/PR/2018 du 30 août 2018 portant Statut de l’opposition démocratique » introduite par le Secrétaire Général du Gouvernement chargé des relations avec l’Assemblée Nationale. Donc pour ces observateurs, elle devait se limiter à l’interprétation de ce texte et non prendre la décision de remplacer le chef de file de l’opposition.
« Kebzabo bientôt en prison », informe Le Visionnaire. La sortie médiatique du président de l’Udr, le 20 avril dernier refusant de reconnaitre qu’il n’est plus le chef de file de l’opposition risque de lui être fatale. Une plainte contre lui pour usurpation de titre en gestion. Les choses s’annoncent très mal pour l’ex chef de file de l’opposition tchadienne qui dit que tant le mandat de l’actuelle législature court, personne ne peut le détrôner selon l’article 8 de la loi 40 portant statut de l’opposition démocratique au Tchad.
KITA Ezéchiel
L’Association des Victimes de Crimes du Régime de Hissène Habré (AVCRHH) a fait un point de presse ce matin dans les locaux de ladite association. Le 27 Avril 2017 – 27 Avril 2019, soit deux ans après la condamnation de l’ancien président Hissène Habré.
Deux ans jour pour, une date à laquelle les tchadiennes et tchadiens se sont senti un peu soulager suite au verdict clouant Hissène Habré dans les murs d’une prison. « Auteur du malheur profond du peuple tchadien de 1982 à 1990 », c’est ainsi que ses victimes le nomme.
Ce point de presse vient à point nommé après le mémorandum à l’attention du Gouvernement de la République du Tchad des victimes de crimes du régime de Hissène Habré, exigeant l’exécution et la mise en application de la décision de justice du 25 Mars 2015, aux fins de l’indemnisation des victimes de Hissène Habré, et que les bourreaux de l’ex DDS soient remis dans leurs lieux de détention, ils exigent également du gouvernement tchadien de s’investir dans la mise en œuvre du fonds de réparation. Ils demandent donc par ailleurs au gouvernement d’ériger les locaux de l’ancienne DDS en un musée et la saisie immédiate de tous les biens des condamnés.
Bien que la procédure a duré 17 ans, ils se disent désormais soulager, mais seulement, la douleur et la colère causées par les autorités leur noue encore la gorge. Ils tiennent le gouvernement pour responsable d’enrayer l’impunité et se donne le droit de ne pas appliquer une décision de justice. Pour eux, c’est un procès préparer et organiser par ce même gouvernement qui clame très haut n’avoir apporté ni or et argent mais la démocratie.
« Aujourd’hui, les victimes veulent encore se souvenir de ce moment inéluctable de joie et de satisfaction il y a de cela deux ans. Personne n’a cru que le lion de l’Unir, Hissène Habré serait trainé devant de juridictions un jour, surtout que ce dictateur ayant cru avoir réussi à emballer Abdoulaye Wade et ses pairs, mieux un bon nombre de la jeunesse sénégalaise de Yakam », a déclaré Clément Abaïfouta, président de l’AVCRHH
C’est le thème intitulé par Mahamat Zene Youssouf pour désigner son livre « Le Droit de la Fonction Publique au Tchad et le Statut Général de la Fonction Publique » présenté ce samedi 27 avril 2019 au Centre Al-Mouna.
Après avoir écrit son premier livre sur « le rôle de la police dans un Etat du Droit » parue en 2015, aujourd’hui l’auteur revient pour expliquer ce que sait la Fonction Publique dont beaucoup fonctionnaires ne connaissent pas et que les jeunes rêves d’y entrée.
Le livre est composé de sept (7) chapitres et environ deux cent pages, le livre vise à répondre au besoin quotidien des fonctionnaires tchadiens de mieux connaitre le système de leur fonction publique. L’auteur définit chaque chapitre avec clarté et précision.
L’ouvrage permettra également aux fonctionnaires de trouver des diverses notion pour bien comprendre la fonction publique et faire valoir ses droits et devoir dans le cadre de sa mission vis-à-vis de l’Etat. Car aucun pays au monde ne peut se développer sans la participation de ses enfants. Par ailleurs, cet ouvrage est destiné non seulement aux fonctionnaires et responsables des services publics, mais également aux étudiants et toute autre personne qui s’intéresse à la fonction publique régissant ladite institution.
Pour l’autre du livre, la fonction publique désigne l’ensemble du personnel employé par l’Etat et les collectivités publiques soumis aux différents régimes juridiques. Elle est définie également comme l’ensemble des personnels qui occupent à titre professionnel un emploi permanent et rémunéré dans les services des personnes publiques et qui sont soumis à un statut de droit public.
Les sept (7) chapitres abordés sont : les organes de gestion de la fonction publique en chapitre 1, l’organisation et le fonctionnement de la fonction publique en chapitre 2, l’organisation de la carrière du fonctionnaire en 3ème chapitre, les récompenses et les sanctions du fonctionnaire en chapitre 4, les droits et libertés par le chapitre 5, les devoirs et les obligations en 6ème chapitre et le contentieux de la fonction publique en chapitre 7.
Mahamat Zene Youssouf est né le 1er janvier 1983 à Moussorro (Kanem). Il est Doctorant en Droit Public et titulaire d’un Diplôme d’Etudes Approfondies (D.E.A) en Droit Publique Fondamental. Il est également enseignant dans les Universités et Instituts (ENA, ENP, Emi-Koussi, HEC-Tchad, ISCAM, ISG, etc.). Actuellement, il est le Directeur des Statistiques Sanitaires, de la Recherche et de la Planification au Ministère de la Santé Publique.
L’ouvrage « Le Droit de la Fonction Publique au Tchad et le Statut Général de la Fonction Publique » est à 6 000 FCFA, édition Al-Mouna.