Depuis quelques jours, les réseaux sociaux sont submergés des clashs que se lancent deux jeunes rappeuses du game tchadien, notamment Crazy Missy, Atobeya et Sara Djenom Bell, good girl. Derrière un N2A qui fait danser les mélomanes sous leurs pseudos. Voilà enfin comment nos ambassadeurs voient le sens du buzz à petit peu.
Même le rap tchadien demeure le seul business qui ne nourrit pas vraiment son homme, il donne au moins l’occasion aux mélomanes de comprendre ce que c’est le rap. L’an 2020, a été vraiment marqué par des tas de buzz, et qui continue jusqu’aujourd’hui.
Après les hommes, c’est au tour de filles de se lancer dans le clash qui leur convient très bien. Sur les réseaux, les nouvelles se sont bondés que cette histoire qui lie Crazy à Sara et quelque part Abanablamsia qui danse les fanatiques sur un rythme fou qui emporte.
Le monde musical nécessite de telles actions pour donner un sens à la culture, selon les commentaires, les causes du conflit seraient liées à une histoire de jalousie mal placée qui aujourd’hui fait de milliers de vues.
Mais d’où sort N2A pour balancer un truc mortel sur cette histoire ? Qu’est-ce qu’il veut dire à travers ce hit ? Pour lui, il ne veut rien d’entendre de son attachement à ce buzz, car dit-il « Atobeya, good girl » serait un bon acronyme qui pourra capter beaucoup d’attention. Restons donc sur nos gardes pour suivre la fin de l’histoire qui tarde à venir.